samedi 24 juillet 2010

L'ESCLAVAGE PAR LE CONTROLE DE LA PENSEE

Une enquête approfondie et courageuse sur les méthodes scandaleuses
et occultes qu'utilisent les organismes de pouvoirs tels que CIA, FBI,
NSA, services secrets militaires et gouvernementaux, mais aussi la
NASA et les sociétés dites secrètes (Illuminati,etc.)
Selon ce rapport extrêmement troublant, des survivants du Programme Monarch du contrôle de l'esprit, affirment avoir été utilisés comme esclaves top-techniques par certains services secrets et politiciens de haut-niveaux.


Sources ,
auteur et références
Article de Uri Dowbenko,
NEXUS Magazine, édition française, juin 1999

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Version originale en anglais sur le site Nexus Magazine Australie:
http://www.nexusmagazine.com/MindControlNWO.html


L'esclavage de haute technologie existe et se porte bien sur la planète Terre. Après que le projet gouvernemental Paperclip ait réalisé, à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, le recyclage d'environ 2000 nazis de haut niveau aux États-Unis, la technologie du contrôle programmé de l'esprit a rapidement progressé.

"Les Allemands, sous le régime hitlérien, avaient commencé à faire de sérieuses recherches scientifiques dans le domaine du contrôle du cerveau basé sur les traumatismes", écrivent Fritz Springmeier et Cisco Wheeler dans leur livre The Illuminati Formula used to create an Undetectable Total Mind Controlled Slave, [La formule des Illuminati (1) utilisée pour réaliser un esclave à l'esprit totalement contrôlé et indétectable]. "Sous les auspices de l'Institut médical Kaise Wilhem à Berlin, Joseph Mengele conduisit les recherches du contrôle de la pensée sur des milliers de jumeaux et de malheureuses victimes".
[Note: (1) Illuminati, personnes ayant, selon elles-mêmes, des connaissances surhumaines]

Mengele, connu sous le pseudonyme de "l'Ange de la mort", fut l'un des 900 militaires scientifiques et chercheurs en médecine secrètement infiltrés aux États-Unis. Là il continua ses recherches et forma d'autres opérateurs à l'art obscur du contrôle de l'esprit. Ce travail sur la manipulation du comportement fut plus tard intégré aux projets de la C.I.A. Bluebird [L'oiseau bleu] et Artichoke [Artichaut] qui devinrent, en 1953, le fameux MKULTRA. La C.I.A. affirma que ces programmes avaient été stoppés, mais il n'y aucune preuve que the search for the Manchurian candidate [la quête du candidat mandchou] (titre du livre de John Marks) ait vraiment cessé.

En fait, John McCarthy, capitaine dans les Forces spéciales de l'armée américaine qui avait conduit les équipes de la C.I.A. à Saïgon pendant la guerre du Viêt-nam, a déclaré à son ami délateur LAPD Mike Ruppert que MKULTRA était un acronyme de la C.I.A. signifiant Manufacturing Killers Utilizing Lethal Tradecraft Requiring Assassinations, [Production de tueurs utilisant un conditionnement à l'assassinat]. Ainsi, l'obsession officielle de la C.I.A. de produire des meurtriers programmés à travers le projet MKULTRA permit de développer 149 sous-programmes dans les domaines allant de la biologie et la pharmacologie ou la psychologie à la physique du laser et l'ESP.

Plus récemment de nouveaux recoupements rendirent évidente l'utilisation, dans ce même but, de ces techniques de programmation basées sur les traumas. Celles-ci incluent l'induction délibérée de désordres multiples de la personnalité (D.M.P.) chez des sujets involontaires, cobayes humains par essence.

Les D.M.P. ont été redéfinis par l'Association américaine de psychiatrie comme désordres dissociatifs de l'identité. La bible des psychiatres américains, le "Manuel de diagnostic et de statistique" (DSM-IV), les caractérise ainsi (page 487) :

L'existence de deux états de personnalité distincts, ou plus;
Au moins deux de ces identités, ou états de la personnalité, prennent épisodiquement contrôle du comportement de la personne;
L'incapacité de se souvenir d'importantes informations personnelles est trop importante pour être expliquée par une perte de mémoire courante;
La perturbation n'est pas due à des causes physiologiques directes de quelque substance, ni à la condition médicale générale du sujet.

Peu importe la façon dont on nomme le problème, créer intentionnellement et consciemment cette condition constitue une atrocité si dépravée que la programmation du contrôle de l'esprit par traumatisme demeure, de facto, l'holocauste secret du vingtième siècle. Connu sous le titre de Monarch Program, son existence a, été corroborée par de nombreux rescapés comme Cathy O'Brien, auteur de Trance Formation of America [Transe-formation de l'Amérique], Brice Taylor, auteur de Starshine, et de K. Sullivan, auteur de MK. Mais on n'a retrouvé aucune trace écrite permettant d'établir une relation entre le projet MKULTRA de la C.I.A. et le Monarch Program, nom générique désignant ces opérations de contrôle de l'esprit qui impliquent l'armée américaine, la C.I.A., la NASA, et d'autres agences du gouvernement américain.

Le livre du procureur John W. DeCamp, The Franklin Cover-up, [l'étouffement de l'affaire Franklin] qui traite de la pédophilie dans les hauts milieux, donne également des détails sordides sur le Monarch Program; "La drogue ne représente pas le plus bas niveau des malveillances cautionnées par le gouvernement, écrit-il. Je pense que l'échelon le plus bas est atteint par ceux qui ont réussi à imaginer et à mettre à exécution le projet Monarch. Le terme "Monarch" fait référence aux jeunes Américains victimes d'expériences de contrôle de l'esprit conduites par des agences de renseignement du gouvernement telle que la C.I.A. et des agences de renseignement militaires."

Le témoignage de Paul Bonacci, rescapé du Monarch et interlocuteur de DeCamp, est similaire aux calvaires endurés par O'Brien, Taylor et Sullivan. Cela constitue une sérieuse vérification croisée de l'identité des exécutants et de leurs méthodes de "production d'une horde d'enfants à l'âme détruite, prêts à espionner, se prostituer, tuer, ou se suicider" - selon les termes de Anton Chaitkin, reporter d'investigation cité dans le livre de DeCamp.

Les victimes de Monarch en voie de guérison parlent d'un traumatisme permanent également appelés "abus rituel satanique" à cause de l'iconographie les accompagnant et à la structure des croyances associées au satanisme et au luciférisme. Par des drogues, l'hypnose, la torture et les électrochocs, les acteurs du Monarch ont produit plusieurs générations de victimes.

Ce n'est pas de la science-fiction mais des faits scientifiquement établis. Les désordres multiples de la personnalité impliquent la création de personnalités autres, personnalités alternatives ou fragments de personnalité qui peuvent être utilisés à des tâches spécifiques, généralement des activités illégales comme des livraisons de drogues ou autres nécessités pour le marché clandestin (mules), transmissions de messages (coursiers), meurtres (assassins). Ces alters (ou fragments de l'âme), sont séparés et compartimenté dans l'esprit de la victime par l'usage répété d'armes paralysantes, de drogues et de l'hypnose, ce qui isole les mémoires des différentes expériences.

Un alter peut être stimulé par quiconque connaissant les "codes" ou les "déclencheurs". Ces derniers, qui provoquent un état modifié ou de transe, peuvent être constitués par n'importe quoi y compris des tonalités téléphoniques, des comptines, des dialogues de films ou des signaux de la main.

Selon Springmeier et Wheeler, dont le livre de 468 pages fait référence en la matière: "La base de la réussite de la programmation contrôlée de l'esprit de Monarch réside dans le fait que les différentes personnalités, ou parties de la personnalité, appelées alters, peuvent être crées sans se connaître les unes les autres et prendre le contrôle du corps à des moments différents. Les murs d'amnésie qui sont construits par les traumas forment un écran assurant le secret sur l'identité des abuseurs et empêche la personne consciente d'avoir connaissance du système d'alters utilisé chez elle."

La programmation du contrôle de l'esprit n'a pas fonctionné selon ce qui avait été planifié. En fait les exécutants, dans leur arrogance et leur orgueil démesuré, n'ont jamais pensé que leur méthode pouvait faillir. La redécouverte par les survivants de souvenirs précis de type "photographique" d'abus de fait, dont des images, des sons et des odeurs, constitue une mise en lumière majeure de ces atteintes aux Droits de l'homme. Ces victimes portent le témoignage des atrocités secrètement perpétrées par le soi-disant "Nouvel Ordre Mondial".


En savoir plus sur le contrôle de la pensée
par les Illuminati


Selon John Colemen, auteur de Conspirator'Hierarchy: The Committee of 300, [La Hiérarchie des conspirateurs: le comité des 300] : "Le mouvement des Iluminati est très actif et se porte très bien en Amérique. Comme ce mouvement est lié au satanisme, on peut en déduire que la C.I.A. était contrôlée par un sataniste du temps ou Dulles en avait la charge. C'est également vrai pour Georges Bush (membre de l'ordre Skull and Bones) ["crâne et os"].

"Etant donné l'atrocité des expériences de contrôle de l'esprit constamment menées par la C.I.A. et ses relations passées avec d'abominables monstres tels que les docteurs Campbell et Sydney Gottlieb, il n'est pas difficile d'établir que la C.I.A. suit un chemin satanique," conclut Coleman dans sa monographie Illuminati in America.

En ce qui concerne les "capacités de lavage de cerveau de l'Institut de Tavistock ou les projets du ministère américain de la Défense tels que le Advanced Research Project Agency, [agence de recherche avancée], écrit Coleman, le premier objectif est bien le contrôle de la pensée, comme le prédisait le livre de Zbigniew Brzezinski The Technotronic Era, [L'ère technotronique]. Sous le nom de Monarch Program, ce vaste projet implique non seulement la C.I.A., mais aussi l'armée, l'armée de l'Air et la Marine avec les compétences et les vastes ressources qui sont les leurs."


Les voyages de Sullivan

Les abus sataniques rituels, les horribles tortures et les abus sexuels sur enfants sont une composante clé de la production d'esclaves à l'esprit contrôlé.

K. Sullivan, survivante du contrôle de l'esprit, à écrit un stupéfiant, MK, récit romancé de savie qui décrit le monde des personnalités multiples. A son crédit, Sullivan a été capable de reconstruire à partir de ses souvenirs la méthodologie et les mécanismes qui conduisent d'un état de la personnalité à un autre. Programmée meurtrière et esclave sexuelle, Sullivan dit qu'elle fut abusée et violée par Robert Maxwell, Henry Kissinger, Georges Bush et Billy Graham, entre autres. Un de ses contrôleurs était l'agent James Jesus Angleton, aujourd'hui décédé, communément considéré comme un agent du K.G.B. et du Mossad.

Dans une interview récente, Sullivan a parlé de son milieu d'origine comme d'une soumission à l'élite de génération en génération, et de son beau-père, maintenant décédé, qui fut initialement son premier programmeur. L'image qu'il donnait était celle d'un homme allant à l'église, citoyen d'un niveau de vie élevé, ingénieur mécanicien, programmeur professionnel très curieusement intéressé par la robotique.

"Plusieurs personnes entraînèrent, conditionnèrent puis brisèrent ma volonté et ma psyché, et me programmèrent à différents états altérés, raconte-t-elle. Mon père fut celui qui m'en fit subir le plus. Il le fit par la terreur. Il le fit par la torture. C'était un homme très brillant, et il semblait aimer nous faire cela, à moi ainsi qu'à d'autres enfants."

Confirmant que son père avait lui-même été "horriblement abusé étant enfant", Sullivan ajouta: "J'en suis certaine. Son père était un druide gallois qui avait été vendu enfant à un capitaine qui l'amena aux Etats-Unis. C'est du moins la mentalité de ma famille, l'esclavage des enfants est admis. J'ai entendu cela des membres les plus vieux de la famille. Ils ne l'ont jamais nié. Mais mon grand-père était également un druide clandestin. Je suis sûre qu'il avait amené cette religion avec lui du Pays de Galles. Une des choses qu'il faisait était d'aller dans le cimetière voisin déterrer des cadavres, les ramener dans la cave, et s'amuser avec. Il faisait aussi parfois des rituels de nuit dans la forêt durant lesquels il sacrifiait des bébés. Voilà ce à quoi j'étais exposée, et je suis sûre que mon père le fut aussi, ce qui ne lui laissa pas d'autre alternative que de devenir comme son propre père."

Et comment ce comportement est-il relié au satanisme, ou s'agit-il seulement d'abus sur les enfants transmis de génération en génération?

"Je pense que c'est les deux, répondit-elle lentement, et cela revient à dire que ces gens ont des activités illégales. Les criminels rencontrent les criminels. Ils ont tendance à se chercher et c'est étonnant de voir comment ils peuvent se trouver. Mon grand-père a fait des contacts avec la mafia dans notre coin et c'est clair qu'il s'agissait de la famille Colombo. Je ne sais pas ce qu'il a fait exactement mais j'ai le souvenir de l'avoir accompagné dans un camion de ciment et avec d'autres chauffeurs de ces camions ils utilisaient le ciment pour enterrer plusieurs corps. Je suppose qu'ils faisaient juste ce qui devait être fait. Cela se passait à New York et en Pennsylvanie. Mon père était un assassin, entre autres choses, et ces gens aimaient vraiment tuer. Il tuait plus pour gagner des faveurs que pour l'argent. Il a eu autant d'enfants qu'il voulait en élever."

Son père avait aussi des connexions avec la C.I.A. et la N.A.S.A. "Son travail avec la C.I.A. semblait plutôt secret. Il a travaillé pour Western Electric et plus tard pour AT&T, dit-elle. J'ai découvert depuis que la Western Electric avait des liens forts avec la C.I.A. J'ai pu accéder à certains de ses papiers depuis son décès et j'ai trouvé trace dans son agenda de plusieurs contacts avec la N.A.S.A. Depuis, je me suis souvenue qu'il m'avait emmenée dans plusieurs installations qui étaient des installations de la N.A.S.A. Les connexions de la N.A.S.A. semblent être directement liées à la connexion Paperclip. Après la guerre, les nazis ont été amenés dans le pays et intégrés à la structure de la N.A.S.A.

"Mon père, à cause de ses origines celtiques, avait une très faible estime de lui-même, continua Sullivan. Etre mis au contact de criminels de guerre nazis a représenté beaucoup pour lui, car sa mère était allemande. Entre ses origines celtiques d'une part et sa mère allemande d'autre part, ces hommes lui ont construit une estime de lui-même à la dimension de l'idéologie aryenne. Il s'identifia énormément à eux et, d'après ce que je comprends, une grande partie de sa formation lui fut donnée par un homme que j'ai connu sous le nom de "docteur Schwartz". Il avait des cheveux bruns légèrement ondulés et des yeux noirs. Il était mince. Je ne pourrais pas dire sa taille car j'étais enfant. Il avait un accent allemand prononcé. Les gens l'appelaient Herr Doctor ou docteur Schwartz, l'un ou l'autre. Parfois on l'appelait docteur Black. Il était pédophile, c'est certain, et c'était un homme très froid. Il aimait faire croire aux enfants qu'ils se sentiraient en sécurité avec lui. Mais il faisait quelque chose qui les bouleversait, et après quoi les enfants étaient effrayés."


Une programmation pluraliste

Sullivan expliqua qu'elle était au service sexuel d'hommes et de femmes dans le mode bêta, et pour les assassinats, la garde du corps et les intrusions dans les situations de prises d'otages, dans le mode delta. Mais qu'est la programmation en mode alpha, bêta, delta et thêta?

"Alpha était la base de tous les autres programmes, continue-t-elle. C'est apparemment là que toute une série d'informations ont été stockées dans ma mémoire, dans mon esprit, à utiliser par les programmeurs pour développer les autres programmes. C'est aussi là que mes alters les plus utilisés étaient stockés. Le mode bêta concernait la partie de moi-même consacrée au service sexuel. Ils appelaient parfois aussi cet état "Barbie". Ce nom était supposé être inspiré de Klaus Barbie." (comme les poupées Barbie?)

Les rescapées Cathy O'Brien et Brice Taylor furent également soumises au conditionnement en mode bêta, celui de la programmation d'esclaves sexuels. Elles étaient dénommées, tout comme l'actrice Marilyn Monroe, "mannequins présidentiels" -- esclaves sexuelles à l'usage d'hommes politiques de haut rang.

D'après le livre de Springmeier: "En 1981 le Nouvel Ordre Mondial a réalisé des films pour former leurs programmeurs novices. Cathy O'Brien, esclave de Monarch fut utilisée pour tourner les films "Comment diviser une personnalité" et "Comment créer une esclave sexuelle". Deux photographes pornographes de Huntsville furent employés pour aider la N.A.S.A. à leur réalisation."

Sullivan se rappelle: "J'ai été utilisée en enfant et en adulte dans ces états altérés de la personnalité, et il y en a plus d'un. Dans ces états je ne résistais pas. Je n'avais pas de colère. J'étais une esclave sexuelle totale et je faisais tout ce que l'on me demandait, quoique ce fût."

Le mode delta est le mode utilisé pour la programmation militaire de tueurs, que des films comme Nikita, son remake américain Point of No Return, et The Long Kiss Goodnight ont inséré dans la conscience populaire.

A propos de la programmation delta, Sullivan dit: "C'est quand j'étais utilisée pour faire des coups, des meurtres, et aussi la garde du corps et des libérations d'otages. J'avais un grand nombre de diverses personnalité avec entraînement spécialisé et qui fonctionnaient selon divers modes pour effectuer différentes tâches."

Pourquoi les conditionnements pour des personnalités différentes étaient-ils exécutés séparément?

"En partie pour que je ne puisse pas me souvenir de trop de choses en même temps si jamais je commençais à me souvenir, déclare-t-elle, et aussi parce qu'ils devaient pouvoir exploiter une seule personnalité pour un certain type de situation. Si vous souhaitiez manifester une partie très loyale à autrui pour une fonction de garde du corps, vous ne vouliez pas qu'elle s'efface et que sorte une autre partie spécialement programmée pour tuer - vous vous sentiriez désolé pour la cible. Ainsi vous devez garder séparés les émotions aussi bien que les motifs. Voilà pourquoi ils devaient opérer les programmations séparément."

La description de la programmation thêta faite par Sullivan semble correspondre au développement et à l'utilisation de ce qu'on appelle plus communément "pouvoirs extrasensoriels" ou "capacités extra-physiques".

"Le mode thêta, c'était lorsqu'ils utilisaient - je n'aime pas le terme de "psychique" car il a été trop souvent mal employé - l'énergie de la pensée, dit-elle. Je la connaissais seulement comme une énergie individuelle de type magnétique pouvant faire différentes choses qu'ils expérimentaient, y compris la connexion à longue distance avec l'esprit d'autres personnes, même dans des pays étrangers. Je suppose qu'on pourrait appeler ça "vision à distance" lorsqu'il s'agissait de voir ce qu'une personne faisait dans un autre Etat, dans une pièce ou quelque chose comme cela.

C'était à la fois de la programmation et de l'expérimentation. Car ils gardaient ces opérations "encapsulées" en différentes parties de mon être, différents états. Cela constitua beaucoup d'entraînements, beaucoup d'expérimentations.

La programmation thêta impliquait également l'énergie de la pensée pour tuer quelqu'un à distance.

"A plusieurs reprises j'ai rencontré par hasard d'autres victimes de la programmation thêta, raconta Sullivan lors d'une interview à la radio CKLN. Un des thèmes de livre et de film qu'ils utilisaient intensivement était Dune, de Frank Herbert. Ce n'est pas très difficile de comprendre pourquoi, car ils nous ont appris que nous pouvions provoquer des événements chez d'autres personnes. Il s'agissait de faire monter la rage en dedans de nous, et elle ressortait sous forme d'énergie pure qui les frappait. Ils avaient parlé de gens dont les organes digestifs implosaient. Je n'en sais rien je ne peux voir l'intérieur du corps des cibles, mais je sais que cela marchait."

Le mélange calculé de choses bienveillantes ou malfaisantes semble bien être la signature de la méthodologie des Illuminati. C'est comme s'ils reconnaissaient, à un niveau spirituel, que le karma d'horreur qu'il créaient devait être contrebalancé par de généreux gestes philanthropiques comme, par exemple, donner un milliard de dollars aux Nations Unies ou d'autres gestes d'une grande compassion.

Ils ont aussi essayé de m'employer pour soigner par imposition des mains, car ma grand-mère était une guérisseuse suédoise. Ainsi ils essayaient de nous employer, moi et d'autres rescapé que j'ai rencontrés depuis, également dans ce mode. Soigner par les mains revenait à focaliser l'énergie dans le corps de la personne concernée.


Le calvaire de Brice Taylor

Un autre livre, celui de Brice Taylor: Starshine: One Woman's Valiant Escape from Mind Control, [Starshine: comment une femme a courageusement échappé au contrôle de l'esprit], corrobore les témoignages de Cathy O'Brien et K.Sullivan. Même s'il est lui aussi une version romancée, ce livre montre clairement que les plus grands crimes ont été et sont toujours perpétrés par les principaux acteurs des élites du pouvoir mondial.

Brice Taylor était aussi un "mannequin présidentiel", et dans une interview récente elle a donné des détails intimes de ses nombreuses expériences avec les hommes politiques soutenant le Nouvel Ordre mondial.

"Ce qui signifie que votre programmation consiste à avoir des relations sexuelles avec les présidents; et j'ai entendu par hasard que divers hommes politiques étaient encouragés à utiliser leur escorte de la C.I.A. pour leur besoins sexuels, de telle sorte qu'ils ne se retrouvent pas dans une position vulnérable en dévoilant quelque secret de la Sûreté nationale à quiconque de l'extérieur et être victime d'un chantage."

Comment caractériserait-elle ce qu'on appelle habituellement le Nouvel Ordre mondial?

"C'est la tentative de mettre en place un gouvernement mondial permettant aux familles de l'élite d'obtenir ce qu'elles veulent. Leur croyance était que la planète était surpeuplée et que quelque chose devait être fait: une guerre psychologique et biologique. Ils considéraient le contrôle de l'esprit comme un outil, leur atout maître, une chose vraiment différente qui pourrait agir comme une arme invisible."

Aventures avec Henry K. et le "Conseil"

Dans sa convalescence, Brice Taylor s'est également souvenue avoir été utilisée par Henry Kissinger comme messagère dont l'esprit était sous contrôle.

"Si vous programmez quelqu'un pour qu'il ait une mémoire photographique parfaite et une totale capacité à se remémorer, vous devenez capable de gérer simultanément de nombreuses tâches et attributions différentes expliqua-t-elle. H. Kissinger a créé un fichier dans ma tête. J'étais envoyée à tous ces leaders pour recevoir leurs données traitant de leurs projets ou de ce qui constituait leur activité, et les classer. Lorsqu'ils avaient rencontré des gens , Kissinger ou Nelson Rockefeller me programmaient. C'est au milieu des années soixante."
Mais qui animait le spectacle?

"Je pense que c'était cet autre établissement que j'appelle "le Conseil" dans mon livre, expliqua Taylor. Je sais que c'est un groupe d'hommes qui se tient au-dessus de Kissinger et des Rockefeller. Ils ont été configurés génétiquement de façon à (elle hésita, cherchant les mots justes) posséder différentes capacités à diriger. C'est eux en fait, qui prennent les décisions."

Se réfèrent-ils eux-mêmes en tant que "le Conseil" ?

"Oui. Quand j'en parlai à d'autres membres du service de renseignements impliqués avec eux, ils me dirent qu'ils se dénommaient eux-mêmes "le Conseil". La C.I.A. inclut tous les opérateurs du contrôle de la pensée qui travaillent pour le gouvernement. Et puis il y a le Conseil qui s'intéresse également au projet du contrôle de l'esprit. Mais le Conseil n'est pas contrôlé par la C.I.A. Ils pouvaient prendre quelqu'un comme moi et étaient capables de me déprogrammer pour connaître ma programmation."


Beaucoup de mauvais souvenirs

Et comment Brice Taylor se rendit-elle compte qu'elle souffrait de désordres multiples de la personnalité et qu'elle avait été programmée de multiples façon?

"Cela commença en 1985, raconte-t-elle. J'ai eu un très grave accident de voiture, et ma tête est passée à travers le pare-brise. J'ai commencé à avoir des flashes de souvenirs, comme une brèche ouverte entre un état de personnalité et un autre. Je pense que ce qui s'est passé est que je commençais à avoir accès aux deux hémisphères de mon cerveau. Auparavant, avec toute cette programmation sophistiquée, j'étais coupée de la moitié de mon cerveau. Maintenant le passage neuronal s'est ouvert à cause de l'accident. Je connais d'autres femmes qui ont vu leurs souvenirs réapparaître."

Ainsi, un choc au cerveau avait brisé la programmation?

"Exactement. Ils ont programmé en moi une mémoire photographique parfaite. Quand ces souvenirs sont revenus, comme celui avec Kissinger, non seulement je pouvais entendre ses paroles et sa voix mais je pouvais sentir son cigare, et même ses pets. Je veux dire que je pouvais voir et entendre exactement comme je l'avais enregistré dans mon esprit."


La connexion avec les meurtres rituels sataniques

La disparition d'enfants, les abus sexuels d'enfants et la pédophilie dans le monde mettent tous en évidence l'existence d'un réseau organisé de criminels de haut niveau qui contrôlent clandestinement le système judiciaire. Ted Gunderson, détective privé et ancien membre du F.B.I., est bien d'accord. Il affirme que "il y a de considérables recoupements entre les divers groupes et organisations, mais l'une des forces conductrices d'aujourd'hui est le mouvement du culte satanique."

Dans sa vidéocassette Satanism & the C.I.A.'s International Trafficking in Children [Satanisme et trafic international d'enfants par la C.I.A.], Gunderson se réfère au magicien noir Aleister Crowley. "Les satanistes ont utilisé ses écrits comme un guide" dit-il en faisant allusion au livre de Crowley, Magick in Theory and Practise, [Théorie et pratique de la magie].

Dans le chapitre XII intitulé Of the Bloody Sacrifice, [Du sacrifice sanglant] (p. 94), Crowley écrit: "Il serait peu sage de condamner comme irrationnelle la pratique des sauvages qui arrachent le coeur et le foie d'un adversaire, les dévorant encore chauds. En tout cas, selon la théorie des anciens magiciens, tout être vivant est une réserve d'énergie, qui varie en quantité selon la taille et la santé du sujet, et en qualité selon son caractère moral et mental. A sa mort, l'énergie est soudainement libérée".

"Pour les plus hauts travaux spirituels on doit, en accord avec ces principes, choisir une victime ayant la plus grande et la plus pure énergie. Un enfant mâle d'une parfaite innocence et d'une haute intelligence est la victime adéquate la plus satisfaisante."

"Nous parlons là de sacrifices humains" précise Gunderson.

Plus récemment, la tradition des sacrifices humains fut promue par Anton LaVey, fondateur de l'Eglise de Satan, qui écrivit dans la Satanic Bible, [La Bible satanique] (p. 88) que "le seul moment où un sataniste devrait procéder à un sacrifice humain est s'il poursuit un objectif double, cela étant pour permettre au magicien d'exprimer son courroux en jetant un mauvais sort et, plus important, de se débarrasser d'une personne totalement odieuse et méritoire."

Remarquez la référence fortuite au meurtre d'une personne pour la seule raison que cette personne déplaît au sataniste/magicien noir. Le glas a sonné, LaVey est mort mais ses crimes continuent. Plusieurs de ses victimes/esclaves l'ont dénommé coupable de contrôle de l'esprit. Ce dernier écrit lui-même dans Satanic Bible (p. 90) que "le sacrifice idéal pourrait être émotionnellement peu sûr mais peut cependant, par les processus de cette insécurité, détériorer sérieusement votre tranquillité et votre réputation."

Les satanistes, après tout, suivent l'injonction de Crowley: "Faites selon vos souhaits. C'est la loi". Autrement dit, les satanistes, tels les dieux eux-mêmes, décident ce qu'ils veulent faire, outrepassant aussi bien les lois de Dieu que celle des hommes. Cela rappelle le modus operandi des Illuminati.

Gunderson fait ce commentaire plus loin dans sa vidéocassette: "Selon mes estimations, il y a aujourd'hui en Amérique plus de trois millions de pratiquants du satanisme. Comment en suis-je arrivé à une telle conclusion? J'ai des informateurs. Par exemple, dans la région de South Bay (à Los Angeles) qui compte 200 000 habitants, un informateur m'a affirmé qu'il y a 3000 satanistes pratiquants. C'est là qu'eut lieu le fameux cas McMartin en garderie d'enfants. J'ai un informateur à Lincoln, au Nebraska. A Iowa City, ville de 150 000 habitants, on compte 1500 satanistes. J'en déduis une moyenne de 1,5 pour 100 de la population".

Gunderson soutient que "...50 000 à 60 000 individus sont sacrifiés chaque année." La mauvaise blague dans tout cela? C'est que le F.B.I. tient à jour le compte des voitures volées ou disparues mais n'est pas en mesure de faire de même pour les enfants.


Un cryptosataniste dans le F.B.I.

Vous ne devriez pas être surpris d'apprendre que Kenneth V. Lanning, superviseur et agent spécial du F.B.I., de la section de la science du comportement du centre national d'analyse de la violence criminelle, nie l'existence d'abus rituels sataniques dans son Investigator's Guide to Allegations of Ritual Child Abuse [Guide d'investigation sur les allégations d'abus rituels d'enfants]. Les postulats intellectuels et le raisonnement spécieux de Lanning devraient être étudiés comme exemples types de logique tortueuse. Sa démonstration sémantique est brillante lorsqu'il affirme que les mots "satanique", "occulte" et "rituel" sont souvent employés de façon interchangeable et qu'il est difficile de définir le satanisme avec précision". Puis il centre la discussion sur la relativité de la terminologie, disant qu' "il est important de réaliser que, pour certaines personnes, tout système de croyances religieuse autre que le leur est satanique".

Tout comme Pilate demanda "Qu'est-ce que la vérité?", Lanning demande "Qu'est-ce que le satanisme?" Il écrit que "lors de conférences visant à renforcer la loi, il est question de sorcellerie, de Père Noël, de paganisme, d'occultisme, souvent pris pour différentes formes du satanisme". Il pourrait s'agir là d'un effort d'établissement d'une définition, mais ces mouvements ne sont pas nécessairement similaires au satanisme traditionnel. Il s'emmêle presque les pieds lui-même en affirmant l'impossibilité de connaître une définition. Enfin, il dédaigne les abus rituels sataniques, les réduisant à un simple problème psychologique: le désordre compulsif obsessionnel.

Bien sûr, s'il avait pris la peine d'interroger de réels pratiquants il aurait su qu'il s'agit d'un système concret de croyances basé sur la pratique rituelle de la torture et du meurtre faisant obédience à Satan, en tant qu'échange dans l'expectative de récompenses futures auprès des forces obscures.

Le déni de Lanning, ignorant l'évidence de l'existence du contrôle de l'esprit et des abus rituels, est vraiment étonnant. Serait-il un cryptosataniste? Il l'a nié publiquement mais la question n'a pas dû le gêner, sa liberté de confession étant protégée par la constitution américaine.


Nouveau regard sur une justice fatale

Le détective privé Ted L. Gunderson fut traîné, se débattant et hurlant, dans l'enfer du satanisme, des kidnappings d'enfants, du trafic de drogue et autres malversations.

Avant de prendre sa retraite en 1979, Gunderson était agent spécial du F.B.I. en poste à Los Angeles. Il dirigeait le bureau du F.B.I., avait 800 personnes sous ses ordres et un budget annuel de 24 millions de dollars. Depuis, son activité de détective privé et de consultant en sécurité l'a amené à mettre en lumière le trafic de drogue, le kidnapping et le trafic d'enfants, le contrôle de la pensée et les contrats de meurtres dans des groupes satanistes reliés à la C.I.A. Il a aussi enquêté sur des cas de haut intérêt comme ceux du docteur Jeffrey McDonald, de la garderie McMartin, ou l'étouffement du cas Franklin au Nebraska, l'affaire de l'attentat à la bombe d'Oklahoma City, l'affaire Inslaw/Octopus, et beaucoup d'autres conspirations criminelles réelles.

"Peu après mon départ à la retraite, on me demanda d'enquêter sur l'affaire Jeffrey McDonald en tant que détective privé, dit Gunderson lors d'une récente interview. Un docteur était condamné pour le meurtre de sa femme et ses deux enfants à Fort Bragg, Caroline du Nord, le 17 février 1970. J'ai passé environ 2000 heures sur ce cas. Il avait été condamné à trois sentences de prison à vie. A ma grande surprise, la lecture des preuves et l'instruction que j'ai développée m'ont amené à établir, au-delà de tout doute, que cet homme est absolument innocent."

Jerry Allen Potter, auteur de Fatale Justice [Justice fatale], puissante réfutation point par point du livre de Joe McGinnis Fatal Vision [Vision fatale], approuve. Son livre qualifie de pure fiction le best-seller de McGinnis.

Gunderson poursuit: "J'ai obtenu une confession signée d'Helena Stokely, la fille sortie du chapeau de magicien, pour ceux qui connaissent l'affaire. Elle dit que le docteur McDonald n'a pas commis ces meurtres. Ils furent commis "par mon groupe de culte satanique". Il s'agissait de mon initiation au culte, cette nuit-là dit-elle."

Après un certain temps Gunderson réalisa que le cas McDonald était un cas classique de camouflage d'un crime commis par le gouvernement américain.

"Elle m'a donné des informations détaillées sur les mouvements dans la maison. Elle me dit qu'elle avait essayé un cheval à bascule dans la chambre d'enfants cette nuit-là mais que le ressort était cassé. La seule façon pour elle de savoir tout cela était d'avoir été présente cette nuit-là."

"J'ai fourni, en mars 1981, un rapport de plus de 1100 pages au juge William Webster, alors à la tête du F.B.I., avec une lettre personnelle envoyée également au ministère américain de la Justice. A ma grande surprise, mes 19 témoins, y compris Helena Stokely, m'appelèrent au téléphone: "Hé, Ted, ils essaient de me pousser à me rétracter". Je me suis dit que ça ne pouvait pas être le fait du F.B.I., leur boulot étant de collecter l'information, pas de la détruire. C'était là le premier indice que nous avions de sérieux problèmes avec cette affaire et les autres cas dont je m'occupais. Je remarquais que pour chacun d'entre eux les preuves étaient détruites, perdues ou volées; qu'il y avait de fortes présomptions de corruption.

"Je me suis alors demandé ce qui se passait. Au cours des années j'ai rassemblé des données. Jusqu'à il y a environ deux ans, j'ai continué à dire qu'il y avait un réseau clandestin à l'oeuvre dans ce pays, impliquant la drogue, la pédophilie, la prostitution, la corruption, etc... Depuis l'approfondissement de mes recherches, je suis convaincu que c'est beaucoup plus sérieux. Plus qu'un réseau clandestin de relations, il s'agit d'une réelle conspiration - et vous savez bien comment les médias vous traitent lorsque vous utilisez ce terme. Mais je vais vous le prouver. Dans les faits, cette conspiration concerne la pornographie, la drogue, le pédophilie et le kidnapping organisé d'enfants.

"Mon essai sur les enfants disparus démontre que les Finders [découvreurs], une organisation de Washington, est une couverture de la C.I.A., déclare Gunderson. C'est une opération de façade impliquée dans le trafic international d'enfants."

Il fait référence à un rapport du service des douanes américaines qui établit que les Finders doit être fermé parce qu'étant un sujet interne à la C.I.A.

Gunderson ajoute: "Ces gens composant le mouvement sataniste dans le monde, ont mis en place des crèches dans le but de mettre la main sur nos enfants. Les parents les y déposent à 9 h le matin et les récupèrent le soir."

Tiré par les cheveux ? Repensez-y. Dans The Law Is For All [La loi est pour tous], Aleister Crowley écrit: "De plus, la bête 666 (il se désigne ainsi) conseille que tous les enfants soient, dès le plus bas âge, accoutumés à assister à tous types d'actes sexuels, ainsi d'ailleurs qu'au processus de la naissance, de peur que le brouillard du mensonge et du mystère n'impressionne leur esprit, ni ne contrarie et ne fausse leur système subconscient de symbolisme."


Guerre spirituelle et impérialisme satanique

Les abus sexuels d'enfants et l'horrible technologie du contrôle de l'esprit peuvent être le dogme de foi des pratiquants du satanisme aussi bien que celui des programmeurs. Ils peuvent aussi être symptomatiques d'un combat plus vaste à l'échelle cosmique.
En fait, il se pourrait que cette guerre spirituelle, et la destruction des valeurs absolues, soient la vrai raison de la mise en lumière des abus rituels et du contrôle de la pensée. Pendant ce temps-là, l'impérialisme satanique continue sa route, invaincu, et la bataille pour la planète Terre passe à l'étape suivante.


Références
- CKLN Mind Control series website, http://www.morethanconquerors.simplenet.com/MCF/ckln-hm.htm
- John Coleman: "Illuminati in America", World in Review (2533 N. Carson St, Carson City, NV 89706), USA, monograph, 1992.
- Alex Constantine: Virtual Government: C.I.A. Mind Control Operations in America, Feral House (2532 Lincoln Blvd #359, Venice, CA 90291), USA, 1997 ($ U.S.: 14,95).
- John DeCamp: The Franklin cover-up: Child Abuse, Satanism and Murder in Nebraska, AWT, Inc. (PO Box 85461, Lincoln, NE 68501), USA, 1996, 2 éd. ($ U.S.: 13,00).
- Ted Gunderson: "McMartin Scientific Report", 1993; Corruption: The Satanic Drug Cult Network and Missing Children, vol. 1-4; "Satanism & the C.I.A. International Trafficking in Children (video $ U.S.: 20,00); Ted Gunderson, PO Box 18000-259, Las Vegas, NV 89109, USA.
- John Marks, The Search for the Manchurian Candidate: The C.I.A. and Mind Control, McGraw-Hill, USA, 1980.
- Mind Control Foundation website, http://www.morethanconquerors.simplenet.com/MCF
- Cathy O'Brien (with Mark Phillips), Trance Formation of America, The True Life Story of a C.I.A. Slave, Reality marketing (PO Box 27740, Las Vegas, NV 89126) USA, 1995 ($ U.S.: 20,00).
- Jerry Allen Potter and Fred Bost, Fatal Justice: Reinvestigating the McDonald Murders, W.W. Norton Co., New York, London, 1997.
- Fritz Springmeier, Bloodlines of the Illuminati, Ambassador House (PO Box 1153, Westminster, CO 80030), USA, 1999, 2 éd. ($ U.S.: 20,00).
- Fritz Springmeier and Cisco Wheeler, Illuminati Formula used to create an Undetectable Total Mind Controlled Slave, Fritz and Cisco (916 Linn Ave, Oregon City, OR 97045), USA, 1996 ($ U.S.: 59,00).
- Lauren Stratford, Satan's Underground, Pelican Publishing, PO Box 3110, Gretna, LA 70054), USA, 1998, ($ U.S.: 10,95).
- K. Sullivan, MK, K. Sullivan (PO Box 1328, Soddy Daisy, TN 37384), USA, 1998 ($ U.S.: 18,00).
Website: http://parc-vramc.tierranet.com/index.html
- Brice Taylor, Starshine: One Woman's Valiant Escape from Mind Control, 1995 ($ U.S.: 20,00); Revivification: A Gentle Alternative Memory Retrieval Process for Trauma Victims 1998, ($ U.S.: 7,50), Brice Taylor Trust, PO Box 655, Landrum, SC 29356, USA.


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L'auteur:
Uri Dowbenko est CEO à la New Improved Entertainment Corp. Il projette de faire suivre cet article d'un coup d'oeil vers les techniques thérapeutiques pouvant aider à la guérison d'abus rituels et de programmation de contrôle de l'esprit. Uri peut être joint par e-mail à : u.dowbenko@mailcity.com



SOURCE:
http://membres.multimania.fr/frendelvel/controle.htm

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