vendredi 14 mai 2010

L'INTERVIEW DE RICHARD HOAGLAND

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Transcription de l'interview - 1ère partie
Richard Hoagland : Dark Mission - Première partie
Albuquerque, Nouveau Mexique
Décembre 2007
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Cette page est une traduction d'une publication originale de
Project Camelot

Début de l'interview

Kerry (KC) : Je m'appelle Kerry Cassidy. C'est Projet Camelot, et nous sommes avec Richard Hoagland qui vient d'écrire un livre appelé Dark Mission avec son collaborateur Mike Bara. Nous sommes ravis d'être dans sa maison au Nouveau Mexique.

A partir d’ici, Richard, nous allons commencer par vous laisser nous entrainer où vous le souhaitez. A un certain point, je vous orienterai dans différentes directions. Vous pouvez vous y opposer, ou bien être d'accord avec moi !

Richard Hoagland (RH) : [rires] D'autres ont essayé avant vous, vous savez !

KC : Bien. Qu'avez-vous à nous dire sur cette nouvelle histoire étonnante et secrète de la NASA ?

RH : Eh bien, c'est une histoire qui se trame depuis de nombreuses années. Je parle d'au moins 40 ans, depuis la genèse même de la NASA en 1958. Ce qui m'intrigue, c’est que c'est une histoire que j'ai essayé de raconter auparavant à différentes occasions. Je l'ai fait dans l'émission Coast to Coast d’Art Bell. Je l'ai fait au Club National de la Presse lors d'une conférence que nous avons tenue avec 8 autres personnes, toutes de formation prestigieuse, NASA, photographie; en 1996.

C'est une histoire que j'ai racontée à la télévision, mais jusqu'à ce que nous écrivions Dark Mission, elle n'accrochait pas. Deux semaines après la sortie du livre, il était classé dans les meilleures ventes de la liste des best-sellers du New York Times, en fait c'est ce que dit ce petit bandeau sur le coin supérieur du livre.

Ce n'est pas rien comme résultat, des ventes pareilles, lorsque vous n'avez eu aucune exposition sur les télévisions nationales. La seule façon qu'a eu le public de pouvoir découvrir que nous avions écrit un nouveau livre dans lequel nous examinions les antécédents de la NASA et ce qu'elle nous a toujours dit, versus les antécédents de qui ils sont en réalité, a été l'audience de Coast to Coast, et les sites Internet.

Nous avons deux sites. EnterpriseMission.com qui est le site officiel des enquêteurs de l'Enterprise. Nous avons aussi DarkMission.net qui est le site officiel du nouveau livre.

Je pense que dans notre pays, en fait dans le monde entier et particulièrement ces 8 dernières années... nous sommes politiquement prêts pour la vérité; à laisser tomber les mensonges. C'est tellement écrasant, on a pris tellement de claques de la part de gens en qui nous avions confiance, en qui nous avions confié nos vies, nos fortunes, notre honneur sacré. Ils nous ont menti, ils ont posé devant les caméras et nous ont menti de but en blanc. Absolument.

Donc, quand Mike et moi-même sortons un livre qui en apparence va vous dire la vérité cachée derrière certains mensonges sur une agence qui se situe en marge des courants traditionnels excepté durant les lancements depuis le Cap, je pense que ça explique cette vague de fond qui balaye les librairies, Barnes & Noble et les autres distributeurs. Ce livre ne reste pas sur les étagères !

Le frère de Mike est allé dans un Barnes & Noble de Seattle l'autre jour et le vendeur lui a dit : « Désolé Mr. Bara, nous en avions beaucoup hier, il n'en reste qu'un. »

Pour moi, ceci est réellement une très bonne nouvelle politique. Cela signifie que d'une certaine façon, nous nous connectons. Nous nous connectons avec le peuple américain, et nous avons l'opportunité de lui montrer la vérité, avec des éléments documentés.

KC : Alors, quelle est la vérité ? Cela mène à quoi au fond ? Vous pouvez tisser le récit à votre façon, mais en fait, vous dites que la NASA nous a menti. Fondamentalement, notre gouvernement nous a menti, parce que c'est pareil n'est-ce pas ? Ils sont enchevêtrés de plusieurs façons ?

RH : Pas forcément. Vous voyez, c'est là qu'il faut penser tout en nuances. Les gens doivent être beaucoup plus sophistiqués, ce qu'est bien sûr le lecteur ou le spectateur du 21ème siècle. Ce n'est pas le gouvernement. Le gouvernement n'existe pas. Il y a plusieurs gouvernements et ils se font la guerre les uns aux autres.

Parfois, nous voyons publiquement des preuves qu'il y a une sorte de guerre, mais en fait, les prises de position sont nuancées et cachées. C'est presque comme l'ancien système féodal. Vous savez, on a tous été élevés avec des histoires sur Robin des bois, le shérif de Nottingham, vous savez, le Roi John et tous les faits terribles qui ont eu lieu en Angleterre quand Sir Richard, le bon type, le Roi d'Angleterre, partit combattre avec les croisades. Le mauvais type, John, essayait de lui voler son empire en douce pendant qu'il était au loin pour de bonnes actions.

Ce que nous voyons dans le gouvernement US actuel, c'est ce que les pères fondateurs, pas même dans leurs pires cauchemars – à part peut-être la vision de ce que Washington eut à Valley Forge – n'ont jamais imaginé. Qu'il y aurait ces fiefs, ces royaumes féodaux, ces baronnies combattant les uns avec les autres et avec le peuple américain pour le pouvoir. En fin de compte, c'est une question de pouvoir.

KC : Eh bien nommez les clans. Etes-vous prêt à le faire ?

RH : Alors, voyons voir. Il y a le département de la Défense, le Département d'Etat, et il y a la NASA. Puis vient la CIA et toutes les agences « alphabet ». Souvenons nous qu'une évaluation des renseignements nationaux nous a dit il y a quelques jours : « euh... en fait l'Iran n'est pas en train de développer l'arme nucléaire et ne s'y emploie plus depuis 4 ans. » Et bien ce résultat est la compilation de 16 ou 17 agences de renseignements qui se sont mises d'accord pour dire : « Ok, nous avons été induits en erreur. » Comme ils ne font pas ce que le Président vous dit qu'ils font et ce depuis des mois maintenant, battant le tambour de la guerre, menaçant de Troisième Guerre Mondiale; les gens se rendent compte qu'il y a cette bataille interne incroyable au sein de leur gouvernement.

Il n'y a pas un seul gouvernement, il y a, ne serait-ce que pour la Chambre et pour le Sénat, 535 gouvernements. Chaque membre, chaque représentant, chaque sénateur a sa propre perspective alors qu’ils ont en fait des comptes à rendre à leurs constituants.

KC : Ok, pouvons-nous parler de ce qui se passe également derrière le gouvernement actuel consensuel ?

RH : Bon. C'est à 5 années lumière d'ici. Allons-y doucement. Allons-y avec une transition parce que pour la plupart des personnes, l'idée que ce qu'ils voient sur CNN ne soit pas la réalité est un choc.

Commençons avec le courant traditionnel, ce que j'appelle « la Courbe en cloche » car c'est exactement ça. C'est le milieu du chemin. C'est « la majorité silencieuse » comme Nixon l'appelait. Nous commençons juste à amener les gens à comprendre que leur gouvernement, les personnes en qui ils ont placé leur confiance, les personnes qu'ils ont élues, les personnes qu'ils ont mises au pouvoir, ne sont peut-être pas les personnes qui dirigent le programme.

C'est pratiquement un saut quantique pour des gens qui pensent vraiment que, participer à un scrutin, se trouver avec un bulletin de vote, représente un pouvoir. Non, ça a du pouvoir dans les réunions publiques mais ce qui détermine réellement notre destin se décide en privé et en secret. Et nous y posons une identité dans Dark Mission... Voyez comment je l'ai amené de façon élégante ?

KC : C'était brillant.

RH : Merci. Nous avons identifié les trois groupes secrets du pouvoir qui sont en fait à la fois derrière et responsables de l'emblème de la NASA, tout en se battant les uns avec les autres pour le pouvoir. Et ce sont... parce que je vois ou vous voulez en venir... [Kerry rit] ce sont : les Nazis, les Maçons et les Magiciens.

KC : Excellent ! Excellent ! C'est vraiment renversant que vous les nommiez, tout du moins à ce stade.

RH : Pourquoi à ce stade ? C'est la vérité.

KC : parce que très peu de gens l'auraient dit.

RH : C'est tout le sujet de Dark Mission. Dire la vérité aux gens.

KC : D’accord.

RH : George [NdT. : George Noory, animateur de la radio Coast to Coast] a eu un invité l'autre soir, un pasteur. Eh bien, un VIP de la société Richfield Atlantique l'a emmené sur la Baie de Prudhoe dans les années 70 où ils foraient sur la côte nord pour construire le pipeline. Durant ses 4 heures sur Coast to Coast, il n'arrêtait pas de citer un proverbe biblique : « La vérité va vous libérer, connaître la vérité vous libérera ». Donc, la première marche sur le chemin de la liberté est de savoir que l'on vous ment.

L'un des mantras que nous avons eu tout au long de Dark Mission est une phrase qui m'a été donnée par l'un de ces agents de renseignements. Vous savez, ils vous appellent. Vous allez même dîner avec eux. Ils viennent aux conférences. Vous ne savez jamais réellement quelle est la part de vrai et quelle est la part de faux dans ce qu'ils vous disent. Quel est le prix d'un mensonge voilé incorporant un peu de vérité ? Autrement, personne ne l'achèterait.

Donc, vous prenez constamment des décisions quand vous comptez sur vos sources, ce que nous, à Enterprise, essayons d'éviter. J'essaierai de développer là-dessus dans une minute.

Cet homme m'a donné un point de vue intéressant. En fait, c'est probablement la deuxième chose la plus importante que l'on m'ait jamais dite en public. La première vient de mon ami Gene Roddenberry [NdT. : créateur de la série Star Trek en 1966], j'y reviendrai dans une minute.

Cet agent des services secrets m'a dit, à l'occasion de l'une de nos premières conversations, et il l'a répété et répété à maintes reprises, c'en était devenu une blague quand nous nous téléphonions : « Le mensonge est différent à chaque niveau. » Ce qui veut dire : que même les personnes qui sont devant la caméra, qui vous disent que le dollar se casse la figure, qui vous disent que les ressources pétrolières s'amenuisent, qui vous disent que nous devons détruire l'Iran avant que l'Iran ne nous détruise, qui vous disent que Saddam Hussein a des armes de destruction massive, et bien, la plupart de ces personnes croient vraiment ce qu'elles vous disent. Les gens en qui ils ont confiance leur ont menti.

Ainsi, le mensonge remonte toute la chaîne. Chaque petit groupe est contrôlé, contenu et contraint, étant nourri exactement de la quantité de mensonge qu'il peut croire. Ils peuvent donc apparaître devant les caméras, comme au Club National de la Presse ou à la Maison Blanche quand le porte-parole du Président s'y trouve.

Elle croit 99% de ce qu'elle dit, elle n'est pas dans le coup sur le mensonge. Elle ne sait pas que c'est un mensonge parce que si elle le savait, elle ne pourrait pas être l'actrice parfaite qu'elle est.

KC : Exactement.

RH : Le mensonge doit être différent à chaque niveau afin que tout l'assemblage mensonger puisse au bout du compte nous contrôler tous en maintenant la vérité contenue. Et par "contenue", je ne veux pas dire "encapsuler", mais bien de la supprimer. De la maintenir à l’écart.

KC : Alors, dites-moi, quand avez-vous été mis au courant ? Toutes ces années où vous travailliez avec Walter Conkrite, vous étiez au courant là ?

RH : Oh... J'aurais bien aimé l'être ! Non. J'étais jeune, j'étais naïf, j'étais idéaliste. J'étais si excité à l’idée qu’ils puissent tapoter l’épaule d’un gars de 23 ans et en réalité écouter mon avis ! Mais, j'observais avec attention, c'est juste que je n'avais pas la vue d'ensemble.

Voici un exemple : Un soir nous avons eu une réunion dans le bureau du producteur. C'était un week-end et il devait y avoir cette conférence de presse tenue par les astronautes. Je crois que c'était Apollo 8.

Ce qui se passe, c'est qu'il y a un lancement depuis le Cap, vous prenez trois jours pour aller sur la Lune, vous allez en orbite et vous alunissez et tout cela, et vous prenez trois jours pour rentrer. Normalement pour ces missions-là, la seule personne autorisée à parler aux astronautes s'appellent un CAPCOM : un communicant de capsule, c'est-à-dire un autre astronaute, et la NASA a établi ce protocole depuis le début, parce qu'on ne veut pas de confusion pendant les moments critiques avec plusieurs voix.

Donc, même tous les autres contrôleurs aériens, tous les autres à la NASA qui s'occupent de la mission, ils font tous passer l'info à travers ce seul bonhomme qui parle à l'équipage.

La première diversion de ce poste important à l’évidente grande responsabilité, c'était ce dimanche après-midi quand les astronautes se dirigeaient vers la Terre. Vous savez, rien à faire pendant 2 à 3 jours entre la Lune et la Terre.

Imaginons la scène, ils flottent, à gravité zéro, il y a ces vues incroyables à travers la fenêtre, la Terre à une fenêtre, la Lune qui recule de l'autre, en fait… vous vous ennuyez.

Alors ce qu'ils ont fait, ils ont préparé la conférence de presse dans l'espace, les journalistes rassemblés à Houston avaient une chance d'avoir le micro et de poser leurs questions directement aux astronautes. Il y avait 3 astronautes dans le programme Apollo. C'était une première, c'était étonnant, merveilleux, la vraie transparence.

Donc, on surveille nos pendules et nos montres et on regarde les écrans et on a tous les liens, vous savez les raccordements satellite à Houston. Et nous attendons que le vaisseau apparaisse au-dessus de l'horizon à Goldstone en Californie, où il y a une immense antenne satellite de 1920 mètres, orientée sur le vaisseau entre la Terre et la Lune, qui va capter le signal, recevoir et envoyer les questions.

Bien sûr, pour que cela se produise, il faut qu'il soit capable de voir le vaisseau parce qu'il est sur une terre qui tourne, il y a la géométrie de la lune, l'endroit où se trouve la capsule, et tout ça ne peut être changé. Il fallait attendre que le vaisseau apparaisse à l'horizon, dans le désert à Goldstone, avant que la conférence de presse puisse commencer.

Nous sommes donc assis là, parlant les uns avec les autres, le producteur s'est installé, les pieds sur son bureau, il y a un autre groupe sur les canapés et...

KC : Vous êtes à JPL ? [NdT. : Jet Propulsion Laboratory, Californie]

RH : Non, non. Nous sommes à New York, dans les studios du journal télévisé de CBS sur la 57ème Ouest, reliés électroniquement. Même à cette période de la préhistoire, nous avions la TV par satellite et nous pouvions voir ce qui se passait. On regardait les écrans, on regardait Houston, on regardait les journalistes.

Et nous attendions que les astronautes apparaissent. Ils avaient aussi une télé et une caméra dans le vaisseau. Nous attendions tous que les astronautes et Houston puissent se relier grâce à la base de Goldstone et le chargé d'information au public vient et dit : « Vous savez, nous attendons que le vaisseau s'élève au dessus de l'horizon des montagnes de Goldstone. »

Alors, j'ai 23 ans, n'oublions pas ? Et je me dis que c'est bizarre, ça n'a aucun sens. Je prends une enveloppe et commence à gribouiller quelques équations. En fait, vous prenez le rayon de la Terre, la façon dont elle tourne, et la hauteur des montagnes. Et je me tourne vers mon chef producteur et je dis : « Pssst... Bob, la NASA nous ment. »

Il répond : « Quoi ? » Je dis : « Ils nous mentent. » C'était quelque chose de si superficiel, et alors ? Mais je dis : « S'il dit vrai, les montagnes au-dessus desquelles la capsule doit se montrer doivent faire 8000 mètres de hauteur... ils doivent mentir. »

Ce que nous avons appris plus tard, c'est que ce qu'ils faisaient réellement, c'était d'attendre Jules Bergman qui s'était saoulé la veille [rires de Kerry] et était le correspondant supérieur pour l'espace chez ABC News. Il avait pris une cuite, s'était levé tard, n'était pas arrivé à l'heure dans la salle de presse et la NASA planquait tout ça avec une histoire technique à dormir debout, pour que Jules Bergman – qui était leur correspondant préféré – puisse se tenir devant la caméra et poser la première question de ce moment historique : « Le correspondant demande à l'astronaute dans l'espace » en direct, sans capitaine d'équipage, sans CAPCOM entre eux.

C'est mon premier exemple, pour l’histoire, d’une situation où j'ai regardé la NASA en me rendant compte qu'ils mentaient, et c'était stupide.

Voilà ce qui m'a conduit à avoir un certain regard quand il est question d'observer Mars, la Lune, la politique, les sociétés secrètes, les intentions [cachées] et tout ça. Ce premier exemple où l'on ne m'a pas cru, parce que qui étais-je ? Je n'étais qu'un consultant pour CBS News.

La NASA ne pouvait rien faire de répréhensible. Je veux dire [Bob] Wussler me disait : « Mais enfin, tu divagues. C'est impossible ! » Il prenait pour argent comptant – et on le faisait tous à cette époque – tout ce que la NASA disait, par rapport à quiconque d’autre s’occupant du programme spatial.

Mais Dark Mission, c'est un exposé qui prouve qu'on ne peut pas faire confiance à la NASA, à commencer par ces montagnes mythiques de 8000 mètres; cela fait 40 ans qu'ils ne disent pas la vérité.

KC : Avance rapide, là. Vous avez écrit ce livre incroyable. Racontez-nous cette petite anecdote dont vous aviez parlé, à ce moment-là, à la télévision etc. parce que, ce n'est pas vrai tant que ce n'est pas à la télé ?

RH : Bien. C'est à l'occasion des sondes sans pilote Viking en 1976, à JPL. J'étais consultant pour CBS News durant cet été « Viking ». C'est là que je me suis intéressé aux données, au contraire de cet épisode stupide de la hauteur des montagnes.

C'est ainsi qu'on l'appelait. L'été Viking. L'année ou cette nation, à l'occasion de son bicentenaire, a envoyé deux vaisseaux sans pilote se poser sur Mars pour la première fois. Et deux de plus dans son orbite prenant des centaines de milliers de photos. C'était le lancement de l'étude officielle de la possibilité de vie sur Mars.

Et bien, peu de temps après, vers le 25 juillet... je pense, un type qui était l'un des piliers de cette mission – il s'appelait Gerry Soffen – est venu nous voir en Californie à JPL – le Jet Propulsion Laboratory, je pense que vous en avez plus que quelques notions – et nous a montré à l'écran une photo du visage de Mars. Cette chose bizarre avec les petits grains noirs qui se trouve dans chaque livre partout sur la planète depuis maintenant une trentaine d’années.

Il l'a désignée, en disant : « N'est-ce pas incroyable ce que peuvent créer la lumière et l'ombre ? « Grosse rigolade de notre part à tous, réunis dans la salle de presse. « Quand on a pris une photo quelques heures plus tard, tout avait disparu, c'était juste un jeu d'ombre et de lumière. »

Alors voilà, je suis encore le témoin de ce rapport, de ce processus. Faisons une avance rapide : j'observe la photo des décennies plus tard vers la fin des années 80, en 89 je crois, et je découvre que tout ce que Soffen nous avait dit était un mensonge.

Ce n'était pas un jeu de clair-obscur. Quand vous en faites un traitement d'image approfondi, réel, c'est une statue d'une symétrie éblouissante de 2400 mètres de long et de 800 mètres de haut. Nous avons un nombre incalculable d'images maintenant et nous avons des agrandissements scannés de données variées, obtenues de façon indépendante.

Il y a les maquettes en trois dimensions, les images stéréoscopiques, les méthodes de travail pour obscurcir les contours, il y a toutes sortes d'analyses et, soit dit en passant, réalisé par nos soins indépendamment de la NASA. La NASA a ignoré et a simplement déclaré à tous que c'était un non sens, allez, circulez, il n'y a rien à voir. Ciel ! Que la NASA dise ça : étonnant !

Mais, en revoyant tout l'historique, l'instant clé, c'est que l'affirmation de Gerry – je peux l'appeler Gerry, je le connaissais plutôt bien – était aussi un mensonge.

Il n'y avait pas de photo prise du visage de Mars quelques heures plus tard. Techniquement, quelques heures plus tard, alors que Mars tournait et que l'orbite de la caméra viking changeait, cette région de Mars était dans l'obscurité totale. Ils ne pouvaient pas prendre une photo.

La prochaine occasion de faire une photo serait un mois plus tard – en fait 35 jours. La photo fut prise, ce qui est inhabituel parce qu'à cette époque, lors d'une mission, ils n'y allaient jamais à deux fois pour photographier le même morceau de terrain.

Ils devaient attendre un mois pour se retrouver dans les coordonnées afin de pouvoir refaire une photo. Et bien sûr, vu de l'extérieur, quelqu'un vérifiait la ressemblance sur l'image vu d'un angle différent du Soleil et dans ce cas, la science dit que c'est probablement vrai.

C'était probablement un vrai visage, une vraie statue, une vraie énigme, une percée véritable et incroyable dans les recherches annoncées par la NASA et Viking. La vie sur Mars ! Excepté bien sûr qu'ils nous ont menti, ils nous ont menti et ils nous ont menti.

Ils mentent à ce sujet depuis trente ans. C'est pourquoi je me demande : « Est-ce qu'ils mentent ou est-ce que ce sont des imbéciles ? Sont-ils des scientifiques sans aucune conception de la façon dont une science digne de ce nom doit fonctionner ?" – qui est que quand votre paradigme est bousculé par quelque chose d'aussi étonnant, une mission s'impose à vous.

Vous avez là une mission dont les fonds sont ceux des contribuables, des milliards de dollars dépensés à chercher la vie sur Mars. Et alors, une statue de 1600 mètres de large, quand même c'est la vie... C'est construit par quelqu'un, peut-être. La méthode scientifique n'est-elle pas là pour le vérifier ? Non... au lieu de vérifier, ils partent en courant dans l'autre direction.

KC : Okay, mais s'ils avaient menti à ce moment là et que c'était leur première mission sur Mars...

RH : C'était leur première mission.

KC : ... Alors, ils devaient être prêts à mentir. Je veux dire, n'est-ce pas ce que l'on suppose ? Ils savaient ce qu'ils allaient trouver ? Est-ce que le programme spatial secret était déjà effectif avant cette mission ?

RH : Ok, ça devient un peu technique, là. Viking n'est pas la première mission sur Mars. Mariner 4 en 1965 a été la première. La deuxième, Mariner 6 et 7 ont eu lieu pendant l'été Apollo, quand je couvrais le premier alunissage habité avec Neil Amstrong et Buzz Aldrin.

Nous sommes partis de North American Rockwell, où nous avions construit tout un complexe, incluant une ballade à travers le système solaire – une de mes idées – nous avons remonté la rue jusqu'au JPL afin de pouvoir terminer la couverture du retour Apollo, parce qu'ils étaient environ à mi-chemin entre la Terre et la Lune.

Nous devions couvrir aussi les vols Mariner 6 et 7 "Fly Bye" [NdT. : Vols successifs en orbite suffisamment proches afin d'obtenir des données], la deuxième mission sans pilote. Puis la troisième mission sans pilote lancée vers Mars par les USA en 1971 appelée Mariner 9. Mais, ce n'était pas une mission "Fly Bye", il suffisait de prendre deux clichés avant de partir pour ne plus revenir. C'était le premier vaisseau spatial américain à graviter autour de Mars. Ce vol a changé toute notre façon de penser.

Alors que je reconstruis l'histoire, je vois les images de Cydonie (Cydonia), le visage de mars. Je me dis : "Il y a quelque chose quelque part, on ne l'a pas encore trouvé, et ce n'est pas dans les dossiers ouverts au public; il doit y avoir des images cachées prises par Mariner 9 en 1971."

Viking, c'était en 1976 et nous avons '72, '73, '74, '75; cinq ans pour déterminer qu'il y a quelque chose de vraiment intéressant ici sur les plaines de Cydonie. Alors, quand ils ont mis Viking en orbite, ils savaient exactement où prendre de nouvelles photos bien plus intéressantes.

Bill : Cela a été discuté, la possibilité que Viking soit réellement allé en Cydonie, mais cela a été écarté pour raison d'un terrain trop rocailleux ?

RH : Oui. Vous vous en souvenez précisément. Le premier site d'atterrissage s'appelait "Les Plaines d'Or" – Chryse Planitia en latin – et pour le second, ils ont parlé de Cydonie.

Attendez, avant que tout le monde ne s'emballe, il faut savoir que c'est comme d'atterrir en Amérique du Nord, ou bien à Albuquerque, ou bien dans mon jardin.

La Cydonie est très étendue, Mr. Scott – citation de Star Trek.

Donc, même s'ils ont planifié de se poser à en Cydonie, les chances que nous avions d'arriver près du visage, de la ville et de tout le complexe étaient nulles. Ce qui m'intéresse politiquement, c’est qu’après le premier communiqué, ils ont annoncé qu'ils allaient débarquer en Cydonie, après que les premières photos aient été prises par Viking 1 en orbite.

La trajectoire du deuxième vaisseau qui venait juste après, et pas encore en orbite, fut changée pour qu'il se pose dans un endroit complètement différent. Celui qui a fait la programmation ne voulait pas qu'il y ait la moindre possibilité qu'il se pose en Cydonie par accident et voit tout cela de près.

KC : Ok. Je suppose que vous parlez des ruines dont ils avaient une connaissance préalable, et vous dites qu'ils en avaient connaissance parce qu'ils avaient un autre programme spatial ?

RH : Il y a un niveau de savoir antérieur que nous pouvons prouver. Nous le pouvons sans aucun doute... sauf que nous n'avons pas trouvé les photos manquantes de Mariner 9. Nous avons trouvé des images de Mariner 9, d'autres éléments intéressants, nous en avons discuté. Carl Sagan dans "Cosmos" a parlé des pyramides d'Elysium. Ce sont des pyramides tétraédriques énormes de plusieurs kilomètres de large, situées de l'autre coté de la planète à l'opposé de la Cydonie.

Dans un des bouquins de Carl Sagan, il les réunit dans une métaphore intéressante. Je ne me souviens pas des détails, mais c'était intrigant – à la fois à ce moment-là et rétrospectivement – que Carl fasse cette connexion.

Mais ce sont les seules données solides que nous ayons. Nous savons que nous avons un vaisseau positionné à Mariner 9. Nous savons que nous avons un autre vaisseau qui suit 5 ans plus tard : Viking. Il est logique de penser que si on avait de vraiment bonnes images des pyramides et du visage de Mars (par Viking) qu'ils aient pu avoir une connaissance antérieure grâce aux photos en basse résolution de Mariner 9. Ca n'a rien d'exagéré. Absolument pas.

Ce que je trouve vraiment intéressant, ce sont les questions que l'on se pose. Est-il possible qu'ils aient su qu'il y avait quelque chose à photographier à cet endroit, depuis très, très longtemps, dans une Histoire très, très, ancienne ?

Ce qui nous amène de nouveau aux trois groupes qui dirigent la NASA de l'intérieur. Les Nazis, les Maçons et les Magiciens, parce que deux de ces groupes, les Nazis et les Maçons, possèdent des preuves écrites, des documents anciens, des textes, des livres, des rapports, vestiges d’un temps très ancien.

C'est comme s'ils étaient en train d'écrire le script. Ils l'ont utilisé pour aller dans le système solaire, prendre des photos de choses qu'ils pensaient trouver sans en avoir la preuve scientifique.

KC : Vous parlez là de textes anciens. En connaissez-vous les noms ? Les avez-vous vu ? Sont-ils dans le domaine public ?

RH : Oui et non. J'essaie de me rappeler les détails car il y a une telle mythologie que lorsque vous l'approchez, c'est une histoire méconnaissable.

Par exemple, nous savons qu'Hitler avait créé toute une section SS à ne rien faire à part aller de par le monde et voler tout ce qui était important, les antiquités. En fait, j'avais une telle anticipation quand Spielberg a sorti son film « Les aventuriers de l'Arche Perdue » qu'il fasse vraiment fort et nous montre que l'Arche et tout ce qui intéressait les nazis ne venaient pas de l'ancien testament. En fait, c'était une technologie ancienne enterrée sur cette planète, accessible depuis des époques précédentes de civilisations dont certaines ont pu concevoir des vaisseaux et avoir voyagé sur Mars et construit ces monuments que nous voyons, mais ce n'est pas la direction qu’a suivi Hitler.

KC : Ok, mais vous dites que c'est vrai.

RH : Oui, je dis que c'est possible. Je ne dis pas que c'est vrai, je dis que c'est possible, et je sais que la perception joue un rôle important. Vous connaissez ce vieux cliché : "La politique, c'est 99% de perception, aucune importance si quelque chose est faux." Si le peuple croit la chose vraie politiquement et agit selon cette croyance, ça rend la chose vraie.

Disons que ces deux groupes qui ont accès aux informations secrètes, à des textes anciens, les Nazis et les Maçons, croient qu'il y a eu une civilisation sur Mars, quelle que soit la raison de leur croyance, et qu'ils y soient allés pendant qu'ils avaient le pouvoir du programme spatial afin de trouver ces preuves... et Bingo... qu'ils les aient trouvées. Alors, la confirmation du 20ème siècle valide les pistes, les rumeurs et les avis de ces textes anciens.

KC : Bien sûr. Dites-vous que les Nazis avaient un programme spatial ?

RH : Non, non.

KC : Non ?

RH : Ils le voulaient. Ils le mettaient en place. J'examine très sérieusement les possibilités de cette technologie dès cette période là. Je vois un schéma intéressant émerger au fur et à mesure que nous pénétrons dans tout la période nazie.

Qui étaient-ils, leurs croyances, d'où venaient-ils ? La ligne directe de leur racines, qui sont très anciennes on dirait; des centaines d'années, puis la bourrasque après la première guerre mondiale qui a apporté la seconde.

La philosophie nazie, l'idée que les êtres humains ne sont pas de cette planète, qu'il y a cette race spéciale, les Aryens, je veux dire Aryens... Mars ! Qu'en fait, ils puissent s'être basés sur quelques documents anciens très secrets, gardés religieusement, presque adulés, pourrait bien être possible. Il se trouve que je n'ai pas de copies avec moi cet après-midi, j'adorerais en voir.

KC : Etes-vous en contact avec des chercheurs spécialisés dans ce sujet ?

RH : Oui, oui. Tout à fait. L'un d'eux est un type extra que vous devriez interviewer. Il s'appelle Joseph Farrell, il est du Dakota du Sud. Il sera ici en janvier. Un académique et docteur (PhD) d'Oxford. Il a écrit cinq livres sur le sujet. Il indexe tous les documents de façon très méticuleuse, les tracts, les références, et il déterre des mémos étonnants et des traces écrites.

Comme c'est un chercheur sérieux en plus d'être un chic type, il m'a donné un point de vue étonnant sur les antécédents des Nazis que le gouvernement US a rapatriés, enterrés au sein de notre propre programme spatial, qui ont l'air d’avoir eu leur propre programme en tenant Eisenhower à l'écart, ainsi que Kennedy et le peuple américain.

KC : Alors vous dites que Werner Von Braun...

RH : Kurt Debus

KC : Pardon ?

RH : Kurt Debus

KC : Ok.

RH : ... qui ont l'air d'être mêlés aux efforts pour créer une technologie alternative étonnamment intéressante qui n'est pas basée sur les fusées, pour le voyage spatial.

KC : Basé sur l'énergie libre ?

RH : Propulsion de champ...

KC : Basée sur les torsions ?

RH : Propulsion de champ, c'est une façon de manipuler l'espace temps pour avoir l'anti-gravité et l'énergie gratuite.

KC : Ok, ils faisaient ça quand ?

RH : Kurt Debus ?

KC : Oui.

RH : Depuis [l’opération] Paperclip, jusqu'au programme Apollo dans sa totalité.

KC : C'est donc à la fin de Deuxième Guerre mondiale ?

RH : De la Deuxième Guerre mondiale jusqu’aux années 50, 60, et puis 70. Et il est devenu le directeur de Cap Canaveral et de Cap Kennedy. Il avait ces antécédents secrets qui ne sont jamais ressortis sur le moindre document de la NASA ou à aucun autre endroit.

KC : Alors comment savez-vous tout cela sur lui ?

RH : Par Joseph Farrell et sa recherche. Il possède des documents allemands, il lit l'allemand. Ça aide. Vous savez, il y a de la vraie recherche. Nous avons toujours été, ceux d'entre nous qui cherchons sur ce fil de rasoir, entre l'histoire erronée et l'histoire véritable, nous avons toujours été limités par le fait qu'il existe pas mal d'amateurs. Certains ont du talent, d'autres sont des imbéciles. J'ai une citation qui s'est toujours avérée, encore et encore : "Les amateurs peuvent vous faire descendre."



Les gens comme Farell ne sont pas des amateurs et quand ils prennent leur expertise pour servir leur recherche, formés dans un lieu tel qu'Oxford, sur ce sujet particulier, vous vous retrouvez avec cinq livres incroyables qui documentent page après page une histoire cachée bien réelle.

Sont décrites toutes les solutions de rechange à ce que les Nazis faisaient techniquement et politiquement, comment ils continuaient, sans arrêt, en allant d'un sponsor à un autre, c.-à-d., Hitler & Co, à une autre série de sponsors, c.-à-d. le gouvernement US & Co, sans même de pause déjeuner.

Dans le livre Dark Mission, nous avons cette photo renversante de Von Braun et tous ces scientifiques Paperclip qui posent sous une sorte de motif occidental mignon. C'est un signe accroché au dessus des scientifiques et c'est un OVNI.

Une découpe actuelle de la forme d'une soucoupe volante avec au centre, un grand svastika [croix gammée]. C'est aux Etats-Unis après que nous ayons gagné la guerre. Ces types sont sur le départ, de White Sands pour El Paso. C'est un magasin de souvenirs appelé "Bob's Curio Shop" et la photo, les agrandissements sont dans le livre. Et bien sûr la raison pour laquelle le svastika s'y trouve est d'une importance majeure, nous en parlons de façon détaillée dans le livre.

Hitler a volé le svastika, symbole qui vient du fin fond de l'histoire, remontant jusqu'aux Védas... Cette tradition indienne antique qui parle de vaisseau spatial, d'armes nucléaires, et de nombreuses autres choses époustouflantes de technologies de pointe à une époque où on ne devait pas trouver de haute technologie.

Ce qu'Hitler a fait ? Il l'a prise, l'a accaparée et consciemment utilisée pour sa propre politique et ses buts de propagande; parce que le svastika représente des aperçus dans un tout autre niveau de réalité que je nomme la physique hyper-dimensionnelle.

Qui vous apporte, d'une part, si vous vous y prenez correctement, l'anti-gravité, rendant les fusées caduques; d'autre part, l'énergie libre qui, elle, rend les centrales désuètes et élimine le contrôle des populations maintenu par le prix de l'énergie.

Ainsi, vous avez les preuves de la recherche nazie et des efforts de développement pendant et après la seconde guerre mondiale. Vous avez les clés de la libération de la civilisation partout sur cette planète. Six milliards de personnes libérées, et quelqu'un est assis sur cette vérité. C'est l'un de ces trois groupes dirigeant la NASA secrètement : les Nazis.

KC : La lignée des Nazis continue à ce jour, c'est ce que vous dites ?

RH : Oui, en ce moment même.

KC : Et leurs descendants contrôlent la NASA ?

RH : Bien sûr ! Je ne sais pas qui ils sont.

KC : Vous ne savez pas ?

RH : Eh bien, parce que quand la vieille garde est morte, ou s'est retirée et est morte, ils n'ont pas dit : "Oh, ce type vient et il va me remplacer, et il est aussi membre avec sa carte du parti nazi, du parti national socialiste."

Nous avons là une philosophie qui ne peut s'identifier. Ils sont devenus très sophistiqués après la débâcle de la Deuxième Guerre mondiale, ils ont réalisé que les peuples ne mordraient plus à ce genre de manifeste. Donc, ce que nous avons maintenant dans le pays, si vous observez autour de vous, mais regardez bien, nous avons un fascisme rampant. Nous avons la philosophie nazie dans chaque chambre à coucher, sous chaque toit, dans chaque communiqué public.

Nous avons des gens, le regard bien clair vers la caméra, qui nous disent : « C'est constitutionnel de lire tous les e-mails, d'être branché sur nos communications téléphoniques et d'écouter clandestinement, d'avoir le type du câble entrer dans la maison pour voir si vous ne faites rien de répréhensible. Ca vient tout droit de l'Allemagne nazie et malheureusement ça n'est pas confiné à la NASA.

KC : Donc, quand vous parlez des Nazis dirigeant le programme spatial, vous parlez, d'après ce que je comprends, du temps après la Deuxième Guerre mondiale où vous aviez les fusées V2... Alors c'est un groupe n'est-ce pas ?

RH : Oui.

KC : Et vous avez la bombe atomique qu'ils fabriquent ou qu'ils sortent d'Allemagne et...

RH : Bien. Nous avons vécu sous le palmarès historique que les Etats-Unis ont développé la bombe atomique avec le programme accéléré du projet Manhattan, et que le Japon et l'Allemagne ont été les deux principaux antagonistes dans la Deuxième Guerre mondiale, quoiqu'ils aient fourni quelques efforts.

Ils se trompaient, ils n'avaient pas les bons types, ils n'avaient pas assez d'argent. En fait ils ne faisaient pas le poids par rapport à l'Amérique qui avait mis l'argent sur la table, deux milliards de dollars de 1940, ce qui ferait deux billions de dollars en argent du 21ème siècle.

Nous avons créé la bombe atomique, nous l'avons employée deux fois contre le Japon pendant la guerre. Selon Farrell, ce n'est pas exactement ce qui s'est produit. D'après des documents, il semble qu'il y ait eu un programme de recherche atomique beaucoup plus sophistiqué et même beaucoup plus avancé en Allemagne, qui a créé au moins une bombe atomique et en a fait l'essai.

Dans son livre, il cite où et quand, et qui était impliqué. On dirait que ce savoir a été importé ici après la guerre. Ça ne nous a pas aidés pendant la guerre, mais ça a été importé et puis fusionné. Il se peut que nous ayons pris une partie de l'uranium utilisé dans l'une des deux bombes, d'une source allemande. Il y a une histoire au sujet d'un sous-marin qui transportait de l'uranium enrichi et nous l'avons capturé et au départ, il se dirigeait vers le Japon.

C'est une façon extraordinairement nouvelle et intéressante de regarder comment la Deuxième Guerre mondiale a été engagée, conduite et poursuivie. Quand la fin des temps arrivera, il se peut bien que ce ne soit pas l'histoire que nous avons lue ces 50 dernières années, ou la véritable histoire que chacun a vécu.

KC : Ok, vous avez le groupe qui travaille aussi sur cette énergie libre, ou ces vaisseaux que les Nazis développaient en plus de...

RH : Peut-être, peut-être... Il faut toujours être prudent avec cela avec peut-être.

KC : Ok.

RH : Il y en a qui disent oui, il y en a qui disent non. En science, au final, tout dépend des documents et des expériences, même ces documents-là, quand on en est à cette technologie qu'ils étudiaient, ces technologies à double tranchant sont très ambigües. Elles peuvent être interprétées de plusieurs manières. Je pense maintenant que la partie positive n'a pas été révélée, ou n'a pas encore été trouvée. Il y a des morts mystérieuses liées à cette documentation.

Par exemple, vers la fin de la guerre, Patton est mort subitement et mystérieusement. Apparemment il dirigeait un groupe, une sixième armée qui allait vers la frontière entre la Tchécoslovaquie et quelque part d'autre pour trouver dans les mines ces documents enterrés, des projets noirs secrets, des projets de haute technologie nazie. Donc, à moins d’avoir des documents en mains, cela reste des rumeurs...

KC : Alors, l'idée, c'est qu'il a trouvé les documents et ils l'ont tué ?

RH : Ou bien il ne les a pas trouvés et a été tué car il les cherchait et il ne comptait pas abandonner.

On ne sait pas et il faut aller voir dans le travail de Farrell pour avoir toute l'histoire. Et là, j'en profite pour promouvoir le travail d'un autre auteur, ce que je veux vraiment faire, parce que Joseph Farrell est un chercheur éblouissant que j'ai la chance de connaître et comme je l’ai dit, nous allons avoir des réunions ici dans quelques semaines.

KC : Bien ! Nous reviendrons peut-être pour conduire une interview avec vous deux.

RH : Ce serait utile, très utile.

KC : Alors, voici ce que je me demande maintenant. Nous avons ces trois groupes. Vous avez parlé des Nazis...

RH : On a parlé seulement de deux groupes jusqu'à présent.

KC : Eh bien, pas beaucoup, non, pas du tout en fait. Emmenez-nous chez les Maçons et les Magiciens et la façon dont ils travaillent à la NASA avec les Nazis ?

RH : Bon. Bien sûr, les Maçons ont fondé les Etats-Unis. Je veux dire que la philosophie maçonnique traditionnelle est un plus très important dans l'avancement et dans l'évolution de l'espèce humaine.

La vieille expression de l'armée : "Soyez tout ce que vous pouvez être" nous dit que les Maçons ne sont pas de mauvais types. Ce sont de braves types.

KC : Parle-t-on de Franc-maçonnerie ?

RH : Oui, oui. Ils sont les héritiers évidents des templiers, depuis le Moyen Âge, qui sont devenus si puissants suite à la découverte de quelque chose à Jérusalem sous le temple.

Ils sont devenus l'organisation la plus puissante d'Europe; ils la possédaient littéralement. Ils avaient créé un système bancaire gratuit. Ils ont créé tellement d'institutions modernes que nous reconnaitrions, comme quand vous allez à votre distributeur de billets.

Philippe le Bel, le roi de France en 1307, un vendredi 13, a tué bon nombre d'entre eux, en a emprisonné, en a poursuivi et n'a jamais trouvé les trésors qu'ils cachaient, y compris énormément d'argent.

Les rumeurs disent que l'argent était caché dans un endroit nommé "Oak Island" et que Franklin Delano Roosevelt et d'autres Maçons ont, périodiquement, mis les fonds nécessaires pour aller creuser et trouver le trésor. Mais c'est toute une autre histoire pour une toute autre vidéo.

Le fait est que les Maçons sont des bons types. James Webb qui était l'administrateur choisi de Kennedy pour la NASA, était un Franc-maçon de 33°. Lisez sa biographie, pas son autobiographie écrite de sa plume, mais sa biographie écrite par quelqu'un qui essayait de savoir qui il était réellement.

Ce que Webb faisait est clair dans ce livre. Il essayait de prendre le meilleur de ce pourquoi la NASA avait été créée. Qui était de trouver ce qu'il y a là-bas, au dehors, de l'utiliser comme système, comme outil, au lycée et à l'université pour infuser des techniques de pointe dans l'industrie américaine, ce qui crée des produits, ce améliore l'économie entière de toute la classe moyenne.

Vous pouvez voir son programme, c'était une directive de prendre tout ce que la NASA trouverait, et de le rendre utile pour le bénéfice du contribuable. C'est tout, il faut lire ça.

Qu'est-t-il arrivé ? Je crois que les deux philosophies, les deux traditions métaphysiques entre les Maçons et les Nazis sont si proches, les Nazis ont pu approcher et renverser les Maçons de façon invisible, secrètement, sans bruit... "comme un voleur dans la nuit", comme on dit.

Je ne pense pas que les Maçons aient réalisé, jusqu'à ce qu'il soit trop tard, qu'ils s'étaient fait avoir, qu'on leur avait succédé. Les objectifs qu'ils poursuivaient, ils les gardaient loin du public tout en essayant de les atteindre.

C'est le secret qui les a perdus parce que si vous faites les choses en secret, des retournements terribles peuvent survenir. Leur plus grande erreur de stratégie a été de ne pas dire au public ce qu'ils avaient trouvé.

Au lieu de le mettre en application calmement, de faire évoluer cette culture graduellement dans la direction voulue. Où le mot "aliène" n'est pas un gros mot, ou l'on peut vraiment parler des extra-terrestres et de nos ancêtres, et tout ce qu'ils ont trouvé là-bas, sans filer la trouille aux populations.

KC : Qui a trouvé, les Maçons ou les Nazis ?

RH : La NASA. Le programme lui même. Le programme de la NASA. Le programme qui comprend des gens dans l'ombre.

KC : Ce que je voulais savoir, c'est, de retour avec les Nazis en Allemagne. Ils avaient cette technologie incroyable et on suppose…

RH : On n'en sait rien.

KC : Comme la rétro-ingénierie... Ils avaient la bombe atomique, vous dites ?

RH : Non, j'ai dit : c'est possible. On ne sait pas tout, c'est possible.

KC : Ok, il y a Farrell, il y a des documents qui vont dans cette direction.

RH : Ils y vont certainement mais n'en sont pas la preuve.

KC : D'accord.

RH : Pas encore de preuve.

KC : Mais ça vient bien de quelque part, l'idée c'était qu'il y a eu un contact et il y a eu tout un développement d’une vision à distance psychique...

RH : De qui était l’idée ?

KC : Pendant la période nazie.

RH : Oui, mais de qui ?

KC : Bonne question, je vous le demande.

RH : Bien. Je ne suis pas un expert en nazisme. J'ai entrevu ceci par la porte de la NASA. J'essaie de rétro-concevoir politiquement ce qui nous a mis dans un bazar pareil.

KC : Exactement.

RH : Je cherche et nous voyons dans Dark Mission les pistes de documents qui mènent aux groupes de l'ombre. Vous savez, les bons types et évidemment les méchants, mais les deux croient la même chose. N'oublions pas, il y a l'ombre et la lumière. Vous pouvez avoir la même connaissance... je veux dire, je peux prendre de l'énergie nucléaire et faire une bombe, je peux aussi faire un réacteur. L'un éclaire des villes et donne l'énergie aux gens, et l'autre les détruit.

C'est toujours une épée à double tranchant avec n'importe quelle base de connaissance. Vous pouvez l'employer pour le bien ou vous pouvez l'employer pour le mal. Historiquement, les Maçons ont essayé le bien. Les Nazis ont démontré qu'ils l'utilisaient pour le mal. C'est très, très métaphysique.

KC : Ok. Si on a une mission projet noir, et on a deux programmes spatiaux et tout cela est venu de l'Allemagne nazie...

RH : C'est possible.

KC : .... leurs racines existent là-bas. Les gens qui dirigent ces programmes, l'héritage qui intervient, ce qui transparait, c’est la lignée nazie, et la même chose… Nazis, Maçons, et on n'a pas parlé des Magiciens, mais tous viennent d'une croyance dans la vie extra terrestre. N'est ce pas vrai ? Parce que, où vous allez, c'est cet endroit sur Mars ?

RH : C'est là que je vais ? [sourire]

KC : [riant] Ca n'est pas où nous allons ?

RH : Non.

KC : Je veux dire, essentiellement, ce que vous dites, c'est que, on a la NASA, à ce jour, qui nous ment sur le visage de Mars, avec une intention. On ne ment pas juste comme ça...

RH : Non, c'est définitivement pour le cacher.

KC : Pourquoi ?

RH : Rappelons-nous. C'est un nid de mensonges. Le mensonge est différent à chaque niveau. Le premier mensonge que les gentils de la NASA ont cru, était un rapport qu'ils ont demandé eux-mêmes, alors qu'Eisenhower était en fin de parcours et que Kennedy arrivait, en 1958-59 et puis les années 60.

Il y avait un rapport ... La NASA elle même a été créée il y a 50 ans, en juillet 58. Il y a donc un demi siècle, Eisenhower disait : « Je ne peux pas avoir tous ces militaires contrôler l'espace. Je vais créer une agence civile qui sera le nœud de toutes les activités spatiales pacifiques. Le Département de la Défense se chargera des opérations militaires de l'espace. »

Eh bien, la première chose que l'on montre dans Dark Mission est que c'est un mensonge, la NASA n'est pas une agence spatiale civile. C'est une agence spatiale militaire. Elle a toujours été formée sous le consentement et le contrôle du Conseil National de Sécurité, du Département de la Défense, et des agences de renseignements. Toutes les données qui sont estimées non appropriées pour le savoir publique peuvent êtres classées secrètes. Même de leurs propres participants.

KC : Donc, ce n'est pas dans le domaine public si ça concerne le contrôle de l'espace ?

RH : On ne sait pas. De par la loi, nous savons que tout ce que le président et ses subordonnés jugent secret, le devient. Ils n'ont pas à donner d'explications.

KC : Ok, mais je vous demande, quel est le raisonnement qui vous pousse à classer secret le programme spatial ?

RH : Si vous avez une agence d'avant garde dont la mission est d'aller courageusement où nul n'est allé, et vous savez par les documents secrets en votre possession qu'ils vont trouver des objets fabriqués, des anciennes bibliothèques, des générateurs, des extra terrestres, des vaisseaux, Dieu sait quoi, et que vous ne voulez pas dire au peuple que c'est ce que vous allez chercher en réalité, alors vous créez légalement une agence qui annoncera uniquement ce que vous voulez qu'ils annoncent, et qui gardera secret tout ce que vous voulez garder secret.

Nous prouvons dans Dark Mission, avec la charte de la NASA elle même que c'est ce que la NASA représente.

Chaque fois qu'un porte parole dit : « Nous sommes une agence civile », cette personne le croit parce qu'elle n'a pas lu la charte.

En ce moment, j'ai pas mal de discussions sur le web. On me trouve sur le forum de Hancock, en Angleterre, et il y a des gens disant qu'Hoagland ne comprend pas comment lire la charte, que ce n'est qu'une métaphore.

Non, ce n'est pas une métaphore, parce qu'il y a plusieurs sections à l'Acte Spatial qui clairement réaffirment le droit absolu du président de classer secret les données de la NASA qu'il ne veut pas voir rendues publiques.

Cela en fait donc une organisation militaire. C’est aussi simple que ça. Les civils seraient indépendants. Ils pourraient publier les données scientifiques. D'après ce que j'ai appris, c'est publier ou périr.

Vous trouvez quelque chose, vous l’écrivez et vous faites un article. Ce sera là, dans la littérature et vous laissez les gens s'en servir.

Ensuite, vous avez un consensus : il a raison pour ça, il a tord pour ça, nous allons trouver plus de données, et le processus continue. Ce n'est pas ce que la NASA est autorisée à faire. Elle a des ordonnances claires, légales, qu'elle ne doit révéler que ce que le Président, la Maison blanche, et toutes les autres branches de commandement, l'autorisent à révéler.

KC : D'accord. Vous dites qu'ils veulent cacher l'information sur les ruines...

RH : Oui.

KC : Des ruines qui disent quoi ? L'Histoire ou bien l'histoire d'autres êtres de là-bas ?

RH : Eh bien, cela dépend de ce que l'on trouve. Si le but, c'est de nous garder hors-jeu avec la physique et la technologie, et si vous avez une économie inconsciemment dépendante du pétrole, le monde est sous le contrôle du pétrole et du dollar. Il y a une grosse bagarre en ce moment entre le dollar et l'euro.

C'est pour cela que nous sommes allés en Iraq, parce qu'ils allaient passer à l'euro. Les Iraniens viennent de le faire, nous les menaçons de guerre nucléaire. Ciel ! Deux plus deux font quatre !

Tout ramène au contrôle politique et économique. Vous allez sur la Lune, ou vous allez sur Mars, ou sur l'une des lunes de Jupiter, et vous trouvez une centrale énergétique alternative qui marche et qui a la taille d'une tasse de thé, tout en alimentant la moitié d’une ville. Voulez-vous ça dans les données transmises au public ? Voulez-vous que les gens réalisent qu'il y a une façon de faire autrement que forer le Moyen Orient et toutes les infrastructures politiques et économiques qui y furent construites ?

Je ne pense pas. Ce plan est en place depuis 40 ans, c'est évident. Quand l'économie du pétrole montait, les gens pouvaient faire des projets. Ils ont besoin de plus d'énergie, ils veulent plus de choses et des gadgets. Nous allons leur construire des ordinateurs, un jour ils auront des 4x4, toutes les choses que l'on prend pour argent comptant, qui se vendent sur cet écran et créent la société de consommation qui est entièrement poussée par l'énergie pétrolière. L'énergie nucléaire représente un pourcentage minime comparé au pétrole mondial.

Voudriez-vous faire apparaitre dans ce scénario une énergie alternative ?

Chacun pourrait soudainement devenir souverain, posséder une énergie illimitée d'un dispositif installé dans sa cave, qu'il n'aurait jamais besoin de vérifier ou de toucher de sa vie entière. Il suffirait d'un interrupteur pour extraire l'énergie de l'espace, hors d'une autre dimension. Ce serait une énergie hyper-dimensionnelle. Non, pas si vous êtes dans le camp de ceux qui contrôlent parce que c'est ainsi que vous contrôlez le peuple. Vous le laissez dépendre de vous pour les ressources nécessaires à la vie elle-même.

KC : Vous dites que la NASA cache des secrets à cause de l'énergie.

RH : Non. Je dis qu'ils ont pu le faire, c'est un raisonnement possible. Franchement, je ne pense pas que ce soit la raison numéro un du secret. Mon pari – et encore, ça n'est qu'un pari – je n'ai pas de sources qui me disent que c'est cela, et même si j'en avais, les croirais-je ? Non, il faudrait que je trouve des documents et des données, et une preuve pour vérifier les contre interrogations de ce qu'ils me diraient. Franchement, je pense que c'est la question religieuse.

KC : Ok, C'est une énorme piste ! Coupons.


SOURCE:
http://projectavalon.net/lang/fr/richard_hoagland_interview_transcript_1_fr.html
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Transcription de l'interview - 2ème partie
Richard Hoagland : Dark Mission - Deuxième partie
Cliquez ici pour la version PDF de cette interview (13 pages)


Début de l'interview

Richard Hoagland (RH) : Le problème avec tout ça est que nous tentons de faire des expertises juridiques à l'extérieur du système. Nous n'avons pas de personnes initiées disant « C'est là où ils cachent ceci, c'est là où ils cachent cela » et même si nous en avions, les croirions-nous ? Le mensonge est différent à chaque niveau et on leur fournit un ensemble de mensonges, donc pour réellement faire ça, on a besoin de se baser sur des preuves.

Et ensuite on doit classer les preuves selon les réalités politiques de la culture entière dans laquelle on vit, c.-à-d. les Etats-Unis ou une culture plus large dans laquelle nous vivons c'est à dire le Monde.

Et quand je regarde le monde et je regarde ce qui se passe en ce moment – je vois les confrontations les plus intenses et les plus porteuses de divisions. Et la première raison de tant de saignées, de massacres, de douleur, de plus de douleur encore, et de tant de conflits sur cette planète est l'idée religieuse que mon Dieu est plus grand que votre Dieu : en fait votre Dieu n’est rien et vous ne valez guère mieux.

Et quand on regarde les débats présidentiels cette année, qu'est-ce qui est mis à l'avant ? De manière écrasante, encore et encore et encore, c'est le profil religieux des candidats.

Les pères fondateurs – ce ronronnement que vous entendez en arrière plan est celui des pères fondateurs se retournant dans leur tombe car ils ont essayé de mettre en place un système politique où la politique est séparée de la religion, où la politique est séparée de nos idées métaphysiques sur ce que nous sommes ce que nous faisons sur cette planète, qui est notre créateur etc.

Et ce que nous voyons à mesure que le 21ème siècle évolue même dans les quelques premières années est le mélange et la fusion des perspectives religieuses avec le corps de la politique. Et regardez seulement ce qu'est le schisme auquel nous sommes tous confrontés, lequel nous a donné la "liberté" - j'utilise cela entre guillemet - qui a produit les subversions patriotiques [NdT.: référence au Patriot Act] de la constitution, les écoutes de la NSA.

Tout est une question de religion. Ce sont ces mauvais types, ces méchants terroristes musulmans ! Le conflit des civilisations; que ces gens sont fondamentalement là pour tous nous tuer. Vous savez, un bon musulman est un musulman mort. Ce qui bien sûr est ce que les radicaux de notre côté disent même s'ils affirment que ce n'est pas ce qu'ils disent. Ainsi nous vivons dans toute une série de niveaux d'illusion où, à la base, c'est une question de différence religieuse et d'intolérance religieuse et d'obsession religieuse - que mon Dieu est le seul Dieu et que vous méritez d'être tué car vous ne croyez pas en mon Dieu.

Dans ce mélange vous introduisez l'idée à la Brookings [Institution] qui a produit ce rapport officiel de la NASA, qui est que si la NASA allait dans l'espace elle trouverait logiquement des preuves d'êtres potentiellement plus avancés. Et cela est dit dans la charte, vous savez, sur la lune, Mars ou Vénus.

Et bien, des êtres avancés doivent être créés par quelqu'un, pas vrai ? Quel Dieu aurait pu les créer ? Est-ce mon Dieu ? Est-ce votre Dieu ?

Donc quand vous allez sur la lune comme ce que j'ai ici sur l'écran et qu'ensuite dans le cadre du programme Apollo vous trouver ce qui apparaît être une tête de robot, un être doué de conscience créé par quelque chose de plus élevé que l'humanité et en-dessous des anges et alors vous voyez que dans nos propres fictions, dans La Guerre des Etoiles de George Lucas, il existe un étonnante similitude avec nos mythes populaires. La question qui vient est : Qui à la NASA savait ? quoi ? quand ? et fut terrifié de nous le dire à cause des implications religieuses ?

Maintenant si l'on regarde les ruines sur la lune ou les ruines sur Mars, en particulier quand on a une face de plusieurs kilomètres de longueur sur Mars – et cela nous ressemble.

Souvenez vous, il y un phrase clé dans l'Ancien Testament : « Dieu a créé l'homme à son image ». Hé ! Attendez une minute. Si c’est vrai alors que fait ce visage de plusieurs kilomètres sur Mars ? Mars n'était pas mentionné dans l'Ancien Testament. Qui étaient les Martiens ? Ont-ils été créés à l'image de Dieu ? Est-ce l'image de Dieu couchée dans le désert ?

En d'autres termes : vous en arrivez à un tel niveau de discours et à de tels niveaux de controverses et de conflit et les gens s'entre-tuent sur leur version de la vérité, que le rapport Brookings a dit en 1959 et que John Kennedy a transmis au Congrès le 18 avril 1960 – ce rapport dit qu'il vaut mieux laisser cela tranquille, et d'éviter que quiconque puisse savoir car tout ce qu'ils feraient, ce serait est de s'entretuer pour savoir quel Dieu se trouve derrière cette nouvelle version de la vérité.

Et je pense en me basant sur l'histoire, directement sur CNN là juste pour le moment, que c'est la raison ultime qui a été fortuitement utilisée comme excuse car le mensonge est différent à chaque niveau – c'est une excuse fondée sur des choses qui se passent dans notre culture qui dit que si les gens pouvaient connaître [la vérité] sans équivoque que nous ne sommes pas les seuls êtres conscients dans l'Univers, le niveau de cellularisme (factionalisme) religieux augmenterait de manière hystérique.

Et nous serions littéralement dissous dans une conflagration que vous pouvez imaginer. Et que beaucoup de braves gens – souvenez vous il y a les bons et les méchants – beaucoup de braves gens vivent avec ça car dans leur esprit, pour citer Jack Nicholson, « Nous ne pouvons pas gérer la vérité ».

Kerry Cassidy (KC): Ok.

Donc la NASA est là pour nous protéger de la vérité car nous ne pouvons pas gérer la vérité, la vérité étant que...

RH: Mais selon qui ? Souvenez vous, c'est toujours selon celui qui écrit le scénario.

KC : Ok, mais suivant ce que vous me dites, c'est...

RH : Je dis que de braves gens à la NASA croient cela.

KC : Ok, mais vous êtes en train dire...

RH : D'autres personnes croient autres choses.

KC :...

Vous êtes en train de dire que c'est la raison principale pour le secret...?

RH : Je pense que c'est la raison principale qui leur a permis d'avoir tant de gens [qui y croient] sur une si longue durée. Souvenez- vous, tout le monde souhaite être le bon gars.

KC : Exact.

RH : Est-ce que vous vous réveillez le matin en pensant que vous êtes un mauvais gars ? Non.

Vous pensez que vous faites quelque chose de positif, que vous faites avancer l'humanité en faisant ces programmes et en les mettant sur le Net. Vous essayer d'exposer la vérité car la vérité va vous libérer. Mais ce qu'on leur a dit est que la vérité va vous tuer.

KC : Exactement.

RH : Et ils l'ont cru. C'est ici le point clé pernicieux. Ils ont ignoré dans de nombreux cas leur propre Bible. Et ils pensent qu'en étouffant la vérité, ils nous rendent libre.

KC : Ok mais discutons de cette vérité. Ce que vous me dites est que la vérité, c’est que les ruines sur Mars et sur la lune indiquent que nous ne sommes pas seuls.

RH : Oh, ce n'est pas le problème. Le problème est, y sommes nous mêlés ? Ces ruines sont-elles les nôtres ?

KC : Le sont-elles ?

RH : Je pose la question, Ces ruines sont-elles les nôtres ? Est-ce que l'arrière-arrière-arrière-arrière grand mère de la race humaine créée en l'image de Dieu a mis ces choses là-bas ?

KC : Exact, et bien si ce sont nos ruines et qu'elles ont été créées comme nous et qu'elles viennent de nous, nos ancêtres ou peu importe, alors nous n'avons pas de problème religieux car hé!, ce sont nos ancêtres.

RH : Ou elles ne le sont pas...

Et si elles ont été créées pas des super êtres étrangers qui nous ont créés comme une expérience de laboratoire et nous ont mis ici pour faire ce que nous faisons, ce qui n'est pas du libre arbitre, ce n’est pas très bien, alors ces gars deviennent des Dieux.

Nous espionnons, nous transgressons littéralement le territoire de Dieu suivant une définition de Dieu qui n'est pas le grand type que j'ai imaginé être toute ma vie depuis que j'ai grandi en lisant le catéchisme, mais quelque chose de moins élevé que les anges, et donc fondamentalement un être faillible et aussi humain et mortel que nous autres, quelqu'un qui joue à Dieu. Pouvez-vous imaginer ?

KC : Mais est-ce que c'est vote prémisse ? Est-ce que vous fouillez cela quand vous observez ces ruines ?

RH : Evidemment ! J'investigue tout cela. Le problème est comment. C'est très difficile. C'est réellement, réellement difficile car vous ne pouvez pas avoir confiance dans les gens qui disent « la vérité ». Vous devez rechercher les sources originales et finalement nous devons allez sur Mars et la lune et trouver les bibliothèques.

Mais bien sûr ça va être : qui va être le lecteur ? Qui va être le traducteur ? Comment saurons nous que les traductions ne seront pas cuisinées ? Qu'elles ne seront pas falsifiées pour supporter certaines convictions religieuses, pour affirmer que certains Dieux sont réels, ou un Dieu, mais que les autres types sont des faux. Vous devez... Je veux dire, ce n'est un labyrinthe simple. C'est descendre dans le terrier du lapin, à travers un trou-de-ver, dans une autre galaxie. (Rires communs)

Ce n'est pas simple. C'est pourquoi cela a attendu quelques 40 ans pour que des rayons de soleil commencent à jaillir et que les gens finalement veuillent connaître la vérité. Et cela rejoint les chiffres et le succès de Dark Mission.

Car au final qu'est ce qui a rythmé tout cela, qu'est-ce qui a permis à l'étouffement de la vérité de continuer sans frein depuis plus de 50 ans ? Les gens. Vous les gars.

Vous avez voulu cela. Vous n'avez pas voulu connaître la vérité. Car si vous l'aviez réellement voulu, vous auriez su la vérité il y a bien longtemps. Vous êtes le problème à l'inverse d'être la solution. Et juste maintenant, il est possible que ceux d'entre vous qui regardez deviennent une partie de la solution pour trouver la vérité.

KC : Maintenant je veux vous demander, si vous êtes en train d'investiguer ce que nous avons trouvé sur Mars et sur la lune et vous l'êtes clairement; vous avez des preuves documentées que vous êtes en train de piste – vous êtes en train de pister cet incroyable dôme fait de – je ne sais même pas de quoi… sur la lune et qui couvre...

RH : Ce sont plusieurs dômes faits de verre. L'explication la plus simple est que c'est fait de verre. La raison est que quand on regarde les analyses d'Apollo des choses qu'ils ont ramenées – auxquelles je crois dans l'ensemble car pourquoi cuisiner ces résultats ? C'est à cause de la chimie. D'une manière écrasante c'est du dioxyde de silice (SiO2), du verre. C'est aussi ce avec quoi la Terre est faite. Vous savez, comment on fait du verre ici ? Comme on fait de magnifiques grandes fenêtres comme ici ? On prend principalement les éléments les plus communs de la croûte terrestre et on les chauffe, on les raffine, on les fusionne, on les met sur ces plateaux d'acier, on les presse, on les roule et on fabrique des feuilles de verre, des plateaux de verre.

Donc il semble que les ruines lunaires sont faites du matériau le plus commun que l'on trouve sur la lune. Au passage, quand vous faites des ruines, les structures des bâtiments sur la lune, elles sont 20 fois plus solides que l'acier.

Et la raison, c’est qu’il n'y a pas d'eau sur la lune. Il n'y a pas d'atmosphère. Il n'y a pas d'impuretés qui pénètrent dans le verre, ce qui le rend faible et fragile. Donc sur la lune le verre est un matériau de structure et il a… si on le dope avec divers minéraux, métaux, on peut faire toute sorte de choses amusantes.

On peut le rendre photochrome pour que, lorsqu’il est exposé au soleil, il devienne plus sombre comme ces lunettes de soleil qui s'assombrissent automatiquement et puis qui s'ouvriraient quand la nuit lunaire arrive. On peut le rendre résistant aux radiations, le rendre semi-transparent pour que certaines longueurs d'onde seulement pénètrent et que d'autres soient bloquées.

Je veux dire, sur la lune, sur la partie qui est de face, si vous êtes à un endroit nommé Sinus Medii, la Baie Centrale, quand vous regardez directement en face, il y a cette splendide Terre suspendue au-dessus tournant sur son propre axe, avec des nuages jour après jour, semaine après semaine, mois après mois. La meilleure propriété immobilière sur la lune pour observer la Terre serait juste là et c'est là que nous avons trouvé notre surprenante première série de ruines.

En fait voudriez vous que je vous montre à quoi ressemble quelques unes de ces ruines.

KC : Bien sûr.

RH : (soupirs) Segue [NDT: Suite].

Dans le cadre de nos investigations sur la lune remontant à 1996, ce qui fait 11 ans, j'ai amené dans ce domaine des experts à Enterprise [Mission] pour jeter un œil à divers aspects de ces histoires impossible-à-croire de prime abord.

Nommément, le fait qu'Apollo est allé sur la lune; les astronautes sont allés là-bas spécifiquement affrétés par la NASA, par le Président, avec un mandat pour aller trouver de la technologie, secrètement, et la ramener pour faire de la rétro-conception. Et voilà le programme Apollo.

La course avec les Russes pour atteindre avant eux la lune n'était qu'une histoire pour couvrir cela.

Et nous le savons maintenant car nous avons des mémos qui sont dans le livre Dark Mission : venant de la Maison Blanche, du département d'état; nous avons le témoignage du propre fils du président Khrouchtchev, Sergei, qui était associé, je pense, à l'Université Brown et qui confirme que dès l'instant où Kennedy a mis le pied dans le Bureau Ovale en 1960 après son inauguration un après midi du 20 Janvier, il ouvrit le dialogue avec le président Khrouchtchev pour essayer d'aller sur la lune ensemble.

Maintenant logiquement c'est débile. Car si on nous a dit pendant toutes ces années que la raison pour laquelle nous sommes allés sur lune était de battre les Russes, pourquoi sommes nous allés sur la lune après tout ? Pourquoi avons nous dépensé tout cet argent après tout? Pourquoi avons nous fait tout cela si ce n'est pour battre les Russes ? Et si en fait nous avions tenté d'y aller secrètement avec les Russes ?

La seule réponse logique est qu'il y avait quelque chose là-bas que Kennedy sentait être d'une importance prioritaire pour l'humanité – à la civilisation où qu'elle soit sur cette planète – que nous devions partager avec nos ennemis de toujours de la Guerre Froide.

Et finalement comme nous l'avons documenté dans le livre, il semble qu'ils l'ont tué pour cela. Et ensuite quelques mois plus tard, ils ont emprisonné Khrouchtchev et l'ont gardé en résidence surveillée jusqu'à sa mort, plusieurs années après cela.

KC : Mais au final derrière la scène, nous somme peut être allés sur la lune avec eux après tout. N'est-ce pas exact ?

RH : Nous ne savons pas.

Encore une fois, nous ne savons pas. Les trous dans les données historiques sont encore assez gros pour faire voler l'Enterprise à travers. Ce que nous savons est que nous y sommes allés. Apollo est allé sur la lune. Nous avons eu 6 missions. Des missions incroyables. Nous en avons eu une qui n'a pas vraiment marché de la manière dont nous voulions – la 13 – laquelle a en elle-même des trous intéressants que j'étudie dans mon copieux temps libre.

Mais ce que nous savons maintenant à partir des photos qu'ils ont ramenées et que j'ai vu aux archives de la NASA – je les ai tenu physiquement en mains – des photos qui sont maintenant été l’objet de fuites sur tout le Web, sur tous les sites web de la NASA à travers le monde, que tout le monde peut télécharger puis y appliquer un minimum de traitement d'image avec Photoshop ou CorelDraw ou autres pour à la base augmenter le contraste, la luminosité, regarder à ce qu'il y a dans le ciel qui devrait être noir, vous trouverez CELA.

Maintenant, cela est en réalité une parfaite version idéalisée de ce que vous allez trouver. Ceci est une grille créée par l'un de nos experts, un architecte nommé Robert Fiertek dont nous parlons dans le livre, que j'ai amené dans ce domaine au milieu des années 90 pour analyser les photos et nous dire ce qui était là d'un point de vu structure et construction.

Donc Robert a créé cette grille avec un ordinateur et ensuite ce que nous avons fait fut de regarder quelques-unes des photos. Par exemple, voici une image Hasselblad d'Apollo 10. Le numéro du cadre est AS10-32-4810. Ainsi vous pouvez aller aux archives et sur le site Web et télécharger l'image. On peut voir qu'il y a des indices, qu'il existe quelque chose dans le ciel, et en dessous on a un terrain lunaire vraiment classique.

Tout ce que vous avez à faire c’est d'augmenter la luminosité. Vous vous souvenez de cette chanson : « Turn up the Volume » ?

KC : Mm hm.

RH : Augmentez le gain/contraste. Et vous voyez cette splendide structure en grille dans le ciel. Une structure en grille – c'est un plan rapproché maintenant – cela n'appartient pas à ça... C'est tridimensionnel. C'est rectiligne. Il y a des poutres en haut et en bas. Il y a des fibres à gauche et à droite. Il n'y a aucun doute dans l'esprit de quiconque ayant des relations avec la construction, ou même a construit une maison, que ceci est réel. Ce ne sont pas des éraflures, ce n'est une bizarrerie de l'image venant du bain chimique pour le développement de la pellicule. Ce sont de réelles choses 3D manufacturées.

KC : Ok, donc quelle est votre théorie sur ceux qui ont fabriqué cela ?

RH : Et bien. On en revient à la photo que je vous ai montrée il y quelques instants qui représentait une tête. Bien, la tête est d'une certaine façon anthropomorphique n'est-ce pas ? Si nous croyons en l'évolution biologique, si nous croyons en Gaylord Simpson qui fut un expert d'Harvard dans les années 1960, qui a écrit cette sorte de Bible sur le développement humain que Carl Sagan s'est approprié par la suite : l'être humain est totalement unique.

Notre apparence. Notre face, nos caractéristiques, nos proportions, deux bras, deux jambes tout ça. Si vous pouviez rejouer l'histoire de la Terre vous n'obtiendriez pas du tout quelque chose qui nous ressemble.

Et la raison disent-ils, est que si l'on regarde dans les océans, sur les continents, que l'on regarde toutes les différentes espèces, toutes les espèces éteintes, les fossiles - les seuls types qui nous ressemblent, nous le savons maintenant, nous sont liés génétiquement. Les simiens, les anthropoïdes, les gorilles, les singes. Il y un arbre familial ici. Darwin avait raison. Il existe une famille à partir de laquelle nous sommes en quelque sorte issus.

Bill: Et peut être quelques-uns des visiteurs E.T. aussi ?

RH : Nous ne savons pas cela. Encore une fois, je m'occupe de données réelles que je peux toucher. Je ne traite pas d'OVNIs. Car alors je dépendrais d'histoires. Si vous dépendez d'histoires, vous êtes à la merci des personnes qui vous racontent l'histoire. Si vous dépendez de preuves réelles et documentées qui sont dans des archives que tout le monde peut télécharger, vous êtes dans une toute autre partie. Et donc, j'écoute les histoires, j'essaie de faire des références croisées avec les données, mais nous sommes liés aux données. Ce qui fait qu'Enterprise est différent de n'importe qui d'autre qui tente de faire la même chose. Nous avons des données.

KC : Ok, donc anthropomorphiquement, ils nous ressemblent ?

RH : Oui.

KC : En quoi cela un rapport avec ce que vous avez trouvé sur la lune ?

RH : Je vais y arriver.

J'essaie toujours d'aller quelque part. Donc revenons à la tête de robot. Pourquoi le robot nous ressemble-t-il ? Il pourrait ressembler à n'importe quoi. Il pourrait ressembler à R2D2. Souvenez-vous, R2D2 ne nous ressemble pas du tout. Il est mignon et ressemble presque à une petite poubelle, vous savez, avec des lumières clignotantes, des rayons et tout ça.

Voyez, il ressemble à C3PO, qui était un robot anthropomorphique à l'image de l'humain. Donc le fait qu'Apollo soit allé sur la lune et tout ça – Apollo 17, Gene Cernan et Harrisson Schmidt auraient peut-être vu cette chose. Ils l'ont peut être embarqué. Ils l'ont peut être ramené comme une part de leur mandat. Nous n'avons pas encore connaissance de ces faits car ils ne parlent pas.

KC : Et bien pourquoi en avons-nous des photos ?

RH : Il y a environ 15 photos de ça.

KC : Je sais mais ont-ils pris les images ?

RH : Ils ont pris les images.

Quand on prend une photo sur la lune, souvenez-vous, ils ne regardent pas à travers un objectif. L'appareil photo est attaché à leur poitrine. Le fait est que le seul moyen pour pointer l'appareil était votre corps dans la combinaison spatiale. Et vous êtes derrière le verre.

KC : Hasselblad.

RH : Hasselblad.

Un appareil de très grande qualité mais ils ne regardent pas la scène. Ils regardent la scène et ils prennent des photos en bougeant tout leur corps donc il se peut qu'ils n'aient même pas vu ça, c'était tellement loin. C'est au fond d'un cratère qui est de la taille d'un champ de football.

KC : Et bien, qui l'a trouvé ?

RH : Moi.

KC : Vous ?

RH : Je suis le premier type à l'avoir trouvé. Evidemment. Que croyez-vous ? C'est pour çà que vous êtes ici n'est-ce pas ?

KC : (rires)

RH : C'est que nous faisons ici ! Lisez le livre !

KC : (riant encore plus) Vous avez trouvé une tête de robot en bas d'une photo.

RH : Dans 14 photos.

Il a été photographié encore et encore et encore en tant que partie d'une séquence panoramique. Nous essayons maintenant d'aller – nous avons eu 2 copies de film - pas juste par le web mais un film – qui sont vraiment de sales copies qu'on nous a envoyées et ce que je fus capable de faire est de faire une comparaison informatique avec C3PO.

J'ai été capable de prendre deux de ces images et de les surimposer très délicatement l'une au-dessus de l'autre. C'est une technique photographique standard pour amplifier le signal et moyenner le bruit. Car chaque photo est bruitée.

Si vous faites cela, les équations mathématiques disent que le bruit est atténué par la racine carré du nombre de cadres qui sont surimposés délicatement avec succès. Au final nous avons pu jouer avec 14 cadres.

J'ai besoin d'une résolution plus élevée mais j'ai fait des manipulations sur l'ordinateur même avec ces cadres, et on obtient des résultats très intéressants. Les deux cadres qui étaient en réalité le film que nous utilisions et que nous avons réussi à surimposer, et c’est à ce moment-là que nous avons ouvert les yeux.

Les iris ronds, les yeux en forme de caméra, cela me dit que ce n'est pas un humain desséché reposé sur la lune, l'un des colons lunaires que nous avons suggérés être là à un moment donné. C'est une forme de vie artificielle, un robot.

Nous l'avons appelé la « tête de Data ». Il ne ressemble pas à Data. Il ressemble beaucoup plus à C3PO.

Ce qui ouvre la voie à des interrogations sur ce que George Lucas sait et quand il l'a su. Et si vous voulez, je peux rentrer dans le sujet et vous faire lever les sourcils.

Car nous avons d’autres données qui montrent que Lucas est impliqué « jusqu'aux sourcils » dans toute cette intéressante histoire, cette intrigue et cette conspiration. Et c'est pourquoi George Lucas a beaucoup de succès avec ces films.

Ce n'est pas un accident.

KC : Ok, maintenant je voudrais discuter de ça mais nous n'avons pas le temps de le faire. Bill ?

Bill Ryan (BR) : J'ai une question, Richard, si vous permettez, qui je sais a été posée par d'autres personnes. Je pourrais comprendre comment la tête de Data aurait pu être prise sur pellicule par accident, car cela s'est produit il y a longtemps et qu'ils ne se concentraient pas sur ce qui était là avec leurs Hasselblads.

RH : 14 fois.

BR :...Mais avec ces structures très larges que vous avez identifiées sur vos photographies, elles auraient pu être clairement à l'arrière plan avant que les astronautes ne prennent ces images.

Pourquoi auraient-ils permis que ces images soient en arrière-plan quand tout ce qu'ils auraient eu à faire est de prendre la photo dans l'autre direction ?

RH : Ceci est une photo prise lors d'Apollo 14. C'est une photo prise par Alan Shepard qui était le commandant. Si vous regardez au nord, il y a Edgar Mitchell avec qui j'ai discuté de tout ça dans l'émission d'Art Bell en 1996. Ici c'est l'ombre de Mitchell. Ici c'est l’incroyable dôme en arrière plan couvrant en arc Mitchell qui semble avoir totalement oublié cela.

Et là c'est une zone encadrée où, comme j'ai une impression originale des ces images sans prix, sauvées délibérément de la destruction par la NASA, en 1971 je crois, par un gentleman nommé Ken Johnston, sauvegardées pendant 30 ans et qui m'ont été confiées en main propre à Seattle en 1995, où je fus capable de les mettre dans le scanner d'un ordinateur (lequel était alors vraiment primitif comparé à ce que nous avons maintenant), de les numériser, d'en augmenter la luminosité et le gain.

Et bingo! Toute cette géométrie incroyable en est sortie !

Quand j'ai agrandi l'impression parce que je ne pouvais pas le numériser dans des résolutions de plus en plus élevées, j'ai découvert des séquences successives d'impressionnantes versions détaillées de ce qu'il y avait dans le cadre. Vous pouvez voir à l'horizon qu'il existe un échafaudage latéral, qu'il y a des contreforts en angle qui proviennent en oblique de quelque part au loin.

Il y a des renforcements en croix qui sont tridimensionnels et à plusieurs niveaux. Il y a quelque chose qui ressemble à un trou formé par une balle à travers un pare-brise. Comme si j'avais pris un calibre 45 et que le verre s'était brisé tout autour, en dispersant la lumière.

Remarquez la couleur. La couleur est réelle. C'est caché dans les couches d'émulsion bleue de l'Ektachrome à plusieurs couches de la pellicule ASA 64 originale qu'ils ont emporté sur la lune et dont ces images sont issues.

Ils n'ont pas fait d'impressions. Ils ont fait des transparents. Ensuite dans les chambres noires, ils ont produit des impressions intermédiaires et dans les chambres noires, pour répondre à votre question Bill, ils ont enlevé tous les trucs intéressants. Ils les ont simplement effacés dans les chambres noires.

BR : Mais ils n'avaient pas de pellicules couleurs lors de la première mission.

RH : Non, ils en avaient.

Non, non, non, ils avaient des pellicules couleurs. En fait ils avaient une super pellicule couleur. C'est une tout autre histoire. En réalité je connaissais l'inventeur de la pellicule à EG&G. J'en ai utilisé. J’en ai en fait eu des rouleaux pour mon propre usage.

Quand j'étais à CBS je suis allé à Cape et j'avais un appareil photo gros comme un fusil fabriqué pour moi par un des photographes clé du corps de presse. Le gars était un indépendant. Il a travaillé pour AP, pour Newsweek, People Magazine etc.

Il a en réalité construit cet énorme appareil photo qui ressemble à un fusil et je devais le pointer comme ça, avec une gâchette qui déclenche un objectif de 35 mm avec la pellicule spéciale et j'ai pris des photos du décollage de Saturne 5 et d’Apollo 8, la première mission vers la lune.

CBS m'a alors envoyé en hélicoptère de New York à Boston où se trouve le labo et dans lequel Charlie, mon ami Charlie Wykoff, développait ce film, pendant que je regardais.

Puis j'ai repris l'hélico pour New York et nous avons diffusé ces pellicules pour montrer à quoi le lancement de Saturne 5 ressemblerait avec cette incroyable pellicule couleur, au domaine super étendu, que la NASA avait secrètement développé pour la lune. Ils ont alors détruit le labo qui était construit spécifiquement pour produire cette pellicule.

KC : La NASA a détruit le labo ?

RH : Oui, la NASA a détruit le labo. En fait, c'est Kodak à la demande de la NASA. Parce qu’on a demandé à Charlie de donner la pellicule à Kodak dans le cadre d'une évaluation pour éventuellement mettre ça sur le marché pour qu'à la base vous et moi puissions en disposer. C'est la pellicule Gold qui est commercialisée de nos jours dans les épiceries.

C'est une version de la pellicule en transparence avec une latitude super large de couleurs. C’est ce qui a été embarqué sur la lune. Ils l'ont utilisée pour prendre des images de première génération avec ces appareils photo Hasselblad.

Et ils l'ont rapporté dans le chambres noires à Houston et ont produit des copies et des impressions de génération intermédiaires et dans la chambre noire toutes les ruines qui faisaient offense furent enlevées.

C'est pour cela que cette impression est si importante. Car elle provient d'une première génération, une impression non altérée, où rien n’a été enlevé.

BR : C'est le film en couleur auquel j'ai fait référence pour Apollo 11 et qui ne fut pas utilisé mais aurait pu l'être. Est-ce bien cela ?

RH : En fait, ils avaient un appareil couleur et un appareil en noir et blanc. Ils ont uniquement utilisé le noir et blanc et l'ont utilisé dans un mode à sensibilité réduite car s'ils l'avaient utilisé selon le design original, conçu par Westinghouse, cela aurait montré les ruines derrière Apollo 11.

Au passage c'est la raison pour laquelle les enregistrements originaux d'Apollo 11 ont « disparus ». Ils n'osent pas les laisser libres. Avec la technologie informatique moderne, pouvez-vous imaginer ce que nous pourrions y trouver ?

KC : Evidemment.

RH : A l'exception de ces formes obscures qui dansent autour de la lune. Si vous savez ce que vous recherchez, même sur ces images il existe des indices. Mais il y a cet énorme élément du déni plausible. Car les gens peuvent dire « Oh c'est juste une mauvaise photographie. Un mauvais éclairage ». Donc il n'y a pas de preuve.

Maintenant, c'est l'encadré montrant Mitchell et le lieu où l’on a fait la photo et montrant cette éblouissante géométrie tridimensionnelle formée par le verre. Nous appelons cela « Mitchell sous le verre ». Et pourtant quand je lui ai parlé sur l'émission de Bell et discuté avec lui, il affirme n'avoir rien vu.

Et je l'ai laissé tranquille à cette époque car je pensais qu'une part du problème venait du fait qu’il ne pouvait bel et bien pas voir. Là c'est un plan rapproché de ce que j'appelle le « trou de balle ». Remarquez toute la géométrie 3D, cet incroyable treillis tridimensionnel. Vous pouvez voir les marches d'escalier en verre éclatant qui brille et la surface lunaire est surexposée. Car rappelez-vous, c'est très obscur.

Cela a probablement la consistance de la fumée de cigarette. C'est tellement fin car cela a été frappé et frappé et frappé à mort par une pluie incessante de micrométéorites. Donc après des millions d'années, il n'en reste pratiquement plus rien. Mais il en restait assez pour en prendre des images qui furent ramenées sur Terre.

KC : Ok, mais pour en revenir à la question de Bill, pourquoi laisseraient-ils des traces ? Est-ce qu'ils veulent que quelqu'un les trouvent ? Ont-ils voulu que vous les trouviez ?

RH : Laissez-moi continuer la séquence logique et je vais revenir là-dessus. Cela c'est la courbe de sensibilité à la lumière de la vision humaine. Notre sensibilité visuelle a un pic qui est qualifié de jaune-vert qui, au passage, est le pic du spectre solaire, donc ce n'est probablement pas un accident. Comme vous pouvez le voir, à mesure que l'on se dirige vers le rouge au bout du spectre cela devient très faible. C'est la courbe de sensibilité. Ca c'est 100% et ici ça serait zéro. Donc cela devient faible et bruité et à mesure que l'on va vers le bleu et le violet cela devient très bruité. Donc vous ne voyez réellement pas beaucoup de choses à faible niveau dans le bleu et le rouge. Vous pourriez voir un peu dans le vert.

Mais la pellicule évidemment a une sensibilité très différente. Ainsi nous en arrivons aux astronautes. Chaque astronaute, nous dit-on, portait une visière en or pour se protéger des UV, comme un écran solaire. Ou des lunettes de soleil polaroïdes ou ce genre de choses.

C'est un autre mensonge de la NASA. Je peux le prouver. Regardez bien. Si vous observez la courbe de transmission de l'or sur du plastique et que vous jetez un œil sur le spectre et que vous regardez le casque en or, il s'avère que l'or supprime toutes les longueurs d'onde visibles de la surface lumineuse lunaire sous l'éclairage brillant du soleil – et qu’il amplifie le bleu.

Ce qui signifie que ces casques leur permettaient en vérité de voir la surface lunaire et de voir les ruines des dômes afin qu'ils puissent pointer leurs caméras au corps sur n'importe quel lieu pour obtenir des images des ruines, qui sont très répandues partout sur la lune. Donc il est impossible qu'ils aient pu pointer leurs caméras là où il n'y avait pas de ruines.

Car ils étaient à l'intérieur d'un ancien dôme brisé de verre où pour 360 degrés –ça c'est un panorama de 360 degrés pris à partir de l'un des panoramas que Ken Johnston a sauvé des images originales et vous pouvez voir que la plupart des choses sont à l'ouest – dispersion retour. Remarquez la géométrie là.

Et à mesure que vous déplacez la caméra vers le nord, c'est là où – c'est Mitchell encore une fois, c'est là que se trouvait la structure en grille que nous avons montrée en gros plan – ensuite regardez vers le soleil et vers le Sud, il y en a beaucoup moins ici. Vous pouvez voir que c'est pratiquement noir, comme dans le cas où il n'y aurait pas de verre. Et finalement vers l'ouest une fois de plus, où cela se reforme en un phénomène que nous qualifions de « dispersion retour » où la lumière est réfléchie.

Donc ce panorama pris à partir d'originaux d'impression de la NASA, sauvé de la destruction par Johnston il y a 30 ans, d'une certaine manière, cette image sait où se trouve le soleil. Et il est impossible que cela provienne d'un accident chimique, de développement, de mauvais éclairage, de fuite de lumière ou quoique ce soit d'autre – je veux dire qu'une fuite de lumière serait en direction du soleil, pas vrai ? Pourquoi la plus grosse portion de la « dispersion retour » dans le ciel fait-elle directement face au soleil à en juger par l'ombre de l'astronaute ? En d'autres termes, son propre corps protège la lentille de l'appareil photo de la lumière du soleil.

BR : Bien, je sais que des personnes regardant cela voudront que nous posions cette question, et ils veulent entendre votre réponse.

Et c’est ceci : certaines personnes disent que vous êtes sur une piste conspirationniste, mais que vous êtes sur la mauvaise piste. Car ce que vous avez là comme preuves sont les structures d'arrière plan d'un grand écran dans le désert du Nevada, comme dans le « Truman Show ». Et c'est ce qui a en réalité été gardé sous silence. Alors ce n'est pas une question stupide. Mais je suis sûr que vous pouvez y répondre.

RH : (rires) Nous avons traité de ça dans le livre avec beaucoup de détails.

Dans mon esprit il y a une probabilité nulle et j'utilise rarement le terme de « probabilité nulle » que les alunissages soient des faux. Etant donné la politique, l'histoire des Nazis en arrière plan et ce qu'ils recherchaient, étant donné von Braun, les relations entre Kennedy et Khrouchtchev.

Pourquoi y serions nous allés s'il n'y avait rien ?

Mais la véritable preuve que ce ne fut pas fait en studio et que ce fut pour de vrai, vient d'une anecdote dont je fus témoin oculaire. Je veux dire que j'étais au JPL quand nous avons fait la transition de Downey jusqu'au JPL pour couvrir les missions Mariner 6 et 7.

J'étais là pendant qu'une personne dans l'auditorium chaperonné ici et là par le chef des relations publiques de la NASA au JPL, nommé Frank Bristo, promenait ce type dans les environs pour mettre quelques petites brochures sur chaque siège de journaliste dans l'auditorium.

Et ensuite il est allé à l'extérieur pour donner personnellement une copie de ce mémo, ou quoique cela fut, à chaque journaliste qui était dans la salle de presse et qui attendait que l'une des conférences ne débute. Donc j'en ai pris un, je l'ai lu et je fus époustouflé. Car voilà un type qui était officiellement un représentant de la NASA, distribuant un document qui disait: « La mission entière d'Apollo 11 fut simplement réalisée en studio, sur une scène [de cinéma] au Nevada, et tout le truc est un faux. »

Et je regrette de ne pas avoir gardé le document ! Et nous avons donc maintenant un journaliste qui, sous la forme d'une rubrique de presse du style « n'est-ce pas mignon ce qui se passe autour des missions » publia en fait l’histoire basée sur ce mémo documentaire de 2 pages. Parce que quelqu'un a dû l'avoir fait. Probablement dans le « Pasadena Star News » qui est l'un des endroits que nous regardons. Il est même possible que cela se soit fait dans le « New York Times ».

Je n'ai pas vérifié. Je n'ai pas eu le temps de le faire. La question c’est est qu'il y avait des journalistes, des journalistes bien connus et des journalistes dont on entendra jamais parler... un millier de personnes couvrant ces missions à cette époque. Quelqu'un a dû garder, juste comme un anachronisme historique, une copie de ce mémo.

Maintenant, ce que cela signifie comme je l'ai écrit dans Dark Mission, est que la NASA elle-même a politiquement commencé à faire circuler la rumeur qu'Apollo était un faux bien avant que Buzz et Mike Collins ne rentrent sur Terre. Pourquoi la NASA, dans ses rêves les plus étranges, commencerait-elle à répandre une rumeur qui aurait des répercutions 30 ans après ? La réponse c’est : l’inoculation.

La réponse est que si par hasard il apparaissait qu’il y avait de véritables trucs là-bas [sur la lune] qu'ils ont cachés, ils pourraient toujours détourner la foule enclin au conspirationnisme vers la fausse conspiration du « nous ne sommes pas allé sur la lune » , en plantant le même [Ndt : Un mème est un élément culturel reconnaissable (par exemple : un concept, une habitude, une information, un phénomène, une attitude, etc.], répliqué et transmis par l'imitation du comportement d'un individu par d'autres individus...) – en plantant le mème dans la culture – des générations auparavant.

Ce qui porterait finalement ses fruits, comme ce fut le cas sur la « Fox Television ». (Mince, Fox Television. C'est intéressant). Et cela ferait diversion parmi ces gens pour qu'ils ne posent pas la véritable question qui est évidemment : qu'est-ce qu'ils ont trouvé sur la lune, quand l'ont ils trouvé et quand ont-ils décidé de mentir à ce sujet pendant toutes ces années ?

KC : Donc les astronautes et même Mitchell, dites-vous, avaient des visières qui leur permettaient réellement de voir ce mur de verre, ce dôme ou ce genre de choses...

RH : Afin qu'ils puissent prendre des images des bons trucs. Ouais.

KC : et les photographier.

Donc quand vous avez posé la question à Mitchell et qu'il répondit qu'il n'avait rien vu, quelle est votre théorie sur les raisons de son mensonge ?

RH : [à la caméra] Vous voyez, Kerry est comme une bonne avocate. Elle connait la réponse à la question. Elle ne pose jamais la question quand elle ne connait pas la réponse.

KC : (riant) Ce n'est pas vrai !

RH : Donc je vais maintenant lui donner la réponse qu'elle connait : Je pense qu'Ed Mitchell dit la pure vérité.

KC : Ok, ça c'est une réponse que je ne connaissais pas.

RH : Ah, donc elle ne connaissait pas la réponse. Et bien, c'est parce qu'elle n'a pas lu cette partie dans Dark Mission.

KC : C'est exact !

RH : La résolution de ce paradoxe est qu'Ed Mitchell a subit quelque chose au niveau de son mental.

KC : Oh, cette réponse je la connaissais. Ok...Ok.

RH : Les astronautes, je le pense, ont été manipulés.

Il y a maintenant toutes sortes d'articles qui sortent dans la littérature publique au sujet de technologies qui peuvent sélectivement effacer le souvenir d'événements spécifiques. Et je crois, et j’ai ça dans le livre – Mike et moi avons rassemblé documents après documents après documents sur les références au sujet de tous les astronautes qui se sont plaints à un moment ou à un autre de ne pas pouvoir se souvenir de ce qu'ils ont fait sur la lune.

Ils sont arrivés à des explications diverses. J'aime certaines d'entre elles. Peter Conrad avait l’habitude de faire des réponses détournées: « Oh, c'était vraiment super, waouh, mon vieux tu n'imagines pas ! » Ce qui couvrait en fait sa frustration et en privé dans des entretiens enregistrés par certains journalistes il disait qu'il ne pouvait pas s'en souvenir.

Nous avions eu une conférence au Wyoming il y a des années. Le Wyoming est un lieu chaud pour la CIA et les anciens du Renseignement à qui on a acheté le silence avec de grandes et splendides fermes et propriétés. C’étaient simplement des vendus. C’est comme ça qu’ils les ont achetés.

J'étais invité à présenter des données sur Mars par l'un des ces anciens de la CIA avec une grosse propriété qui avait une belle femme qui s'avérait être un médecin. Sans vouloir donner des noms, car ils sont encore en vie et je voudrais qu'ils le restent, les choses ont tourné d'une manière vraiment, vraiment bizarre. Parce que j’étais ostensiblement invité à présenter les données sur Mars : Cydonie, notre travail à l'ONU, les présentations lors des réunions sur Mars au centre Lewis de la NASA.

Et subitement, je les ai surpris en présentant pour la première fois, tout un tas d'informations sur la lune Et ces individus ont perdu la boule.

KC : Oh, Waouh.

RH : Et sa femme, qui s'avérait être l'un de ces docteurs qui ont débriefé les astronautes, l'équipage, a tourné autour de la conférence sans jamais y retourner en parlant à quelques personnes qui étaient là avec nous et disant: « Je ne sais pas pourquoi c'est si dérangeant mais je… je ne peux juste pas m'asseoir et assister à tout ça ».

KC : Waouh. Etonnant.

RH : Donc la vielle question « Qui surveille ceux qui surveillent ? » Même elle, je pense, a eu son mental altéré afin qu'elle ne puisse pas se rappeler ce qu'elle a fait – donc jusqu'où peut-on monter dans la chaîne ? Combien de surveillants ont du avoir leur mental manipulé par quelque technologie ?

Et la technologie n'est pas parfaite. Je pense que nous avons des preuves que la technologie, encore et encore, présente des failles.

Si vous lisez par exemple le témoignage de Buzz Aldrin, dans ses propres livres, il parle de la manière dont Jay Barbary, un de mes collègues à NBC News – je connaissais Jay au temps où j'étais avec Cronkite et que j’étais juste un jeune blanc-bec, et Jay est maintenant un correspondant sénior sur les sujets spatiaux ; il couvre toujours les missions des navettes pour NBC et pose des questions très perspicaces depuis le Corps de presse – Jay a, innocemment, invité Buzz à la réunion au Kiwanis Club à Palmdale je crois, qui est l'un des services de la NASA au nord de Los Angeles où ils testent en réalité de nombreux composants du programme spatial secret et du programme militaire secret, y compris la navette spatiale.

Et donc il invite Buzz à une réunion avec tout un tas de rah, rah, « chevaucheur de jet » et d'ingénieurs, le réseau des vieux potes sympas. Vous savez exactement de quoi je parle. Et il est assis sur la scène avec 2 chaises pour la discussion et Jay demande à Buzz: « Et bien, comment c'était de marcher sur la lune pour la première fois ? ».

Et dans son propre livre, Buzz Aldrin dit qu’à ce moment il est tombé brutalement malade et il a dû débarrasser le plancher, sortir dans l'allée et vomir. Sa femme sortit toute énervée car elle pensait que quelque chose n'allez vraiment pas, ce qui était évidemment le cas. C'est une thérapie (conditionnement) classique par l'aversion. Une classique thérapie par aversion.

Donc oui, je crois qu'on ne peut rien reprocher aux astronautes. Tous à l’exception de Neil Armstrong.

KC : Ok.

RH : Je pense que Neil Armstrong est en pleine possession de ses souvenirs.

Je pense que comme Neil Armstrong est une icône, la première personne de la famille humaine à avoir marché sur la lune, on la laissé tranquille. Et c'est pour cela que Neil Armstrong ne dit jamais rien en public à propos du programme spatial. Ils l'entourent et le sortent pour quelques cérémonies comme celle de 1994 où il était à la Maison Blanche avec le Président Clinton et un tas d'étudiants, et ça a été une séance arrangée de photos et il était là à faire son discours.

Et j'ai eu quelqu'un l'autre soir pour analyser son langage corporel et sa voix et on a discuté du fait qu'il était incroyablement nerveux et dérangé. Vous pouvez le voir sur les enregistrements. Nous les avons.

Ce qu'il a commencé à faire, cela a été de comparer tous les astronautes, le corps entier des astronautes et ses collègues qui ont atterri sur la lune à – des perroquets. Il a dit: « Et les perroquets ne volent pas très bien. Les perroquets ne vous disent pas la vérité aussi. Ils vous disent ce qu'on leur a dit ».

Et à la fin de son discours, il s'est tourné vers les étudiants parce que les étudiants représentent bien entendu la nouvelle génération – la parfaite opération photo. Il faut toujours planter des étudiants dans l'audience afin de faire croire aux gens que vous vous souciez de la nouvelle génération. Il les regarda. Alors il s'est en quelque sorte calmé et il a dit : « Il existe des merveilles inouïes sur la lune, pour ceux qui peuvent retirer les couches de protection de la vérité ».

Mais on ne m'a jamais appris à l'école que la vérité avait des couches de protection. Qui protège la vérité ? Il faisait à l'évidence référence à [l'institut] Brookings, à la NASA et aux 40 années de mensonge.

BR : Et bien, j'ai aussi quelques questions, encore une fois au risque ici de vous irriter, Richard. Il y aura beaucoup de personnes qui auront lu votre livre du début à la fin et aussi Dark Moon. Ils ont regardé ces images et je sais que vous êtes familier avec ces images. Il y a celles avec les croix qui semblent être derrière l'image plutôt que devant. Il y a celles qui semblent avoir de multiples effets d'éclairage par rapport aux multiples ombres. Mais ce sont de bonnes questions à poser une nouvelle fois. Je sais que vous les avez rejetées. Pouvez vous expliquez brièvement sur quelles bases vous l’avez fait ?

RH : Bon, rejeter c'est dans le cas où vous ne vous en occupez pas. Ce que nous avons fait avec Enterprise et dans Dark Mission, c’est que nous avons traité la plupart des questions ordinaires très efficacement et scientifiquement, et je pense que nous avons été capables de mettre un terme au problème. Parce que les personnes qui posent naïvement ces questions ne savent pas qu'il y a une technologie secrète qui fut utilisée pour prendre les photos.

Par exemple il y a cette super extraordinaire pellicule photographique.

Si vous prenez cette pellicule et que vous en faites une copie de première génération avec l'appareil photo et qu'ensuite vous la ramenez sur Terre pour en faire d'autres copies vous pouvez alors avec une grande latitude ajuster les éclairages [NdT.: flood-spot-fill lights] et en vérité cela provient de la pellicule.

C'était la technologie secrète de Charlie Wykoff chez XRC film qui a permis cela.

Au sujet des multiples ombres, non, il n'y a pas de multiples ombres. Il semble y avoir des angles multiples. Et ce sont des gens qui ne savent pas comment les angles d'ombrage dépendent de la surface des paysages, de la géométrie des collines, des vallées, des cratères, la façon dont se présentent des rochers.

Et il y a le faux rapport répandu selon lequel il ne pouvait pas y voir d'étoiles. Et bien, Ken Johnston rapporte – rappelez-vous, c’est la personne officielle en charge des photographies au Laboratoire Lunaire de Réception pour Apollo – qu'on lui a demandé de tout détruire sauf une série de pellicules.

Un jour, il se promenait dans un des bâtiments lorsqu'il remarqua qu'il y avait un groupe de 3 ou 4 personnes qui étaient en train de faire quelque chose avec les négatifs, et de la peinture.

Ils étaient en train de retoucher le ciel au-dessus de l'horizon. Comme tout bon gestionnaire de la NASA, il demanda « Que faites vous bon sang ? »

Et la réponse fut « Oh, nous sommes les retoucheurs [strippers] ». Ce qui esquive la réponse car c'est un terme qui vient d'Hollywood. Ils utilisent les techniques de cache [matte painting] pour mettre en place l'arrière plan des films comme vous savez dans « Forbidden Planet » , où vous avez l'illusion de voir le monstre sur fond d'une peinture de Chesley Bonestell avec les lunes jumelles du monde E.T. d'Altair 4 sur lequel l'expédition a atterri.

Alors il poursuivit son interrogation et il demanda : « Et bien que faites-vous concrètement ? » Et le type en charge des quelques femmes faisant ça, répondit : « Et bien, ce que nous faisons, c’est que nous retouchons les étoiles pour que cela ne perturbe pas les gens. »

Maintenant les étoiles, pour ce qui est des photos originales de la NASA, ont été une cause majeure de préoccupation pour de nombreuses personnes qui ont été troublées par le fait que vous ne pouvez pas voir d'étoiles sur une image lunaire et ils pensent naïvement que l'on devrait en être capable.

Et bien en fait si vous prenez une photo de jour sur la lune, vous n'allez pas voir d'étoiles. La raison est que les étoiles sont incroyablement peu lumineuse et que le soleil et si brillant qu'il est impossible d'avoir une exposition convenable pour obtenir une image de la surface [lunaire] et en même temps voir des étoiles.

Vous savez, vous pouvez expérimenter cela nuit et jour sur la Terre; allez dehors lors d'une nuit sans lune et essayez d'avoir des étoiles et ensuite mettez un projecteur en face et vous vous apercevrez que le premier plan est totalement surexposé, même avec un faible et piètre éclairage artificiel car les étoiles sont tellement peu lumineuses qu'on ne peut pas enregistrer les deux sur une même prise.

Ce que est significatif dans ce que nous dit Ken, c’est que les personnes qui retouchaient les images étaient en train d'enlever ces trucs. Ils étaient en train de supprimer les ruines de verre, les scintillements, les morceaux de verre qui étaient juste dans le bon angle pour réfléchir la lumière du soleil et il aurait était impossible de nier qu'il y avait quelque chose dans le ciel qui ne devrait pas être là.

Le fait qu'ils pensaient qu'ils retouchaient les étoiles et pas le verre, veut dire qu'eux aussi croyaient aux mensonges. Le mensonge était différent à chaque niveau – et à leur niveau le mensonge qu'ils ont reçu est : « On se débarrasse des étoiles car cela serait troublant ».

Donc c'est une histoire consistante en interne qui possède des éléments venant d'un témoignage direct, de preuves photographiques, de corroborations sur le web et touchant le monde entier provenant de quelqu'un qui tuyaute de stupéfiantes images de versions non retouchées probablement scannées à partir de ces transparents XR Ektachrome. Et tout cela colle parfaitement avec le fait que la NASA a censuré pendant 40 ans de véritables ruines lunaires.

BR : Quelqu'un qui est une de nos précieuses sources insider et avec qui j'ai eu la chance de m'entretenir longuement il y a peu, et je sais que vous êtes très suspicieux vis à vis des témoignages d’insiders et je comprends pourquoi, mais permettez-moi de vous racontez l'histoire.

RH : Bien mais ce n'est pas accompagné par des preuves physiques. Vous voyez la différence avec Ken, c'est qu'il possède une véritable série physique de documents qui tiennent la route.

BR : Evidemment. Je comprends cela.

Mais c'est le genre de conversation que nous aurions pu avoir autour d'une table la nuit dernière et nous ne l'avons pas eue.

Maintenant, j'ai demandé à ce type (Henry Deacon), j'ai eu de nombreuses conversations avec lui au sujet de nombreuses choses et j'ai pensé, vous savez, je ne lui ai jamais posé la question de savoir si nous avions été sur la lune ou non. J'ai demandé « Hé, est-ce que nous sommes réellement allés sur la lune ? » Et il eu le plus long silence.

Je ne savais pas ce qu'il allait dire. C'était vraiment comme une très, très longue pause. Et finalement il répondit « Oui ». Et il rajouta « Mais ce n'était pas aussi simple que cela. Nous y sommes allés avec de l’aide, a-t-il dit. « Nous possédions une technologie avancée qui ne faisait pas partie du programme formel d'Apollo. Cela ne faisait pas partie de la science acceptée en ce temps-là et cela nous a permis de traverser les ceintures de Van Allen ».

Et en réalité cela faisait aussi partie du LEM qui a permis son décollage sans qu’aucun cratère ne se forme du fait du souffle etc.

Il a dit que les astronautes étaient conscients de ça et c'est la raison selon lui pour laquelle ils étaient réticents à avoir des entretiens. Il a dit que c'est une histoire très compliquée mais que la plupart des missions sont allées sur la lune.

Je n'ai pas insisté là-dessus. Mais il a dit, ouais, ces types qui ont dit que c'était fabriqué, une mise en scène sur de faux décors, ce n'est pas vrai, mais qu'une partie des choses a été en vérité fabriquée en préparation pour cela afin que toute l'histoire tienne debout aux yeux du public à cause de l'aspect complexe des relations publiques etc.

RH : Maintenant, connaissez-vous le profil de cette personne ?

BR : Oui je le connais.

RH : Savez vous quel rôle il jouait à la NASA ?

BR : Il n'était pas à la NASA. Il a travaillé dans de nombreux projets noirs, il était spécialiste en électronique. Il a travaillé à Livermore, il a travaillé pour de nombreux projets noirs. Il connaissait les gens.

KC : Il a travaillé pour la NOAA.

BR : Il posait des questions. Il n'était pas impliqué dans la NASA, il n'était pas impliqué dans le programme.

RH : Ok.

N'ayant pas discuté avec lui moi-même, je crois savoir de qui vous voulez parler, mon impression est qu'il serait une autre victime du « mensonge est différent à chaque niveau ». On lui a fourni le mensonge qui satisfait ses expériences relevant de la sécurité nationale correspondant à la couverture des technologies. Parce que nulle part dans son lexique n'existe la couverture de ruines anciennes.

BR : Oui. Il ne nous fournissait pas de l'information de première main. C'étaient des choses qu'il a appris, je pense, au cours de ses travaux.

RH : De quelqu'un d'autre.

BR : Exact. Je comprends tout à fait.

RH : Donc vous comprenez comment il peut être honnête et sincère tout en se trompant totalement.

BR : C'est le plus gros problème.

RH : Car s'il avait vu quelque chose qui collait pour lui – Oh, il a cette haute technologie – évidemment si nous avons raison, il existe ce développement secret d'une réelle technologie d'anti-gravité en parallèle au programme Apollo public et officiel. Il y a des gens, en fait Joseph Farrell est l’un de ces personnages dans ses livres [NdT.: Reich of the Black Sun] (ceci est avant qu'il ne s'associe avec moi) qui proposa cette possibilité.

En fait, tous les gens qui se penchent sur le décollage du LEM et ne comprennent pas ce qu'ils voient…. c'est parce qu’ils n’ont pas les bons éléments de physique.

Tout ce que nous avons vu, y compris – il y a des cratères. J'ai vu des plans rapprochés du cratère sous le LEM. Ce qui rend tout ça si intéressant c'est que quand on disperse la poussière – vous voyez, le modèle naturel dit que de la poussière est tombée sur la lune pendant des milliards d'années ce qui signifie qu'il devrait exister une belle couche légère de duvet de poussière. Donc, comme de la neige, si j'enclenche un moteur de fusée au-dessus de la neige après une tempête de neige, j'obtiens un bien beau cratère, pas vrai ?

Au lieu de cela, ce que les astronautes ont trouvé en tentant de planter des drapeaux, de forer et d'effectuer d'autres expérimentations, c’est qu'en dessous de cette fine surface, environ quelques centimètres, peut être quatre ou cinq centimètres, la surface lunaire est diablement solide.

C'est dur. Et cela se durcit avec la profondeur. Ceci bien sur est en résonance avec l'idée qu'il existe des ruines sous la surface. Il y a des bâtiments là en dessous ! Des murs, des barres, des poutres. Les trucs que vous voyez à la surface ne sont que la moitié de l'histoire.

C'est pour cela qu’actuellement, parmi les missions en orbite autour de la lune, ce soir pendant que nous sommes en train de filmer, il y a une mission japonaise avec une sonde de la taille d'un grand bus. Les Chinois ont une mission de la taille d'un camionnette VW. Ils embarquent des douzaines d'instruments, y compris incluant un puissant radar pour sonder les niveaux en profondeur et pour voir, je pense, les ruines sous la surface de la lune.

KC : Ok, ce sont des ruines sous la surface ou des bases sous-terraines.

RH : Une différence identique. Vous voulez dire, et bien une base implique...

KC : un base sous-terraine contemporaine.

RH : La surface de la lune couvre une zone de la taille du continent américain, 38 millions de kilomètres carré. Si nous avons une base là-haut elle est minuscule. La plupart des choses que l'on trouvera est ancien. Et il est facile de séparer les deux.

KC : Ok, avons nous une base là-bas, selon vous ?

RH : Je ne sais pas.

A mon avis... sachant qu'il existe probablement, selon toute vraisemblance, un programme spatial secret, j'imagine qu'il devrait y avoir une base. Probablement plus d'une. Vous ne pouvez pas tout faire à partir d'un seul lieu. Je veux dire, pouvons nous explorer cette planète avec une seule base ?

Si vous avez la technologie qui peut vous permettre d'aller là-haut en quelques heures sans effort avec l'anti-gravité. Et nous avons des vidéos des navettes spatiales montrant cette technologie que j'ai prêtées à Art Bell il y a des années. Et il a réellement gardé le secret ! J'ai dit, Art, assieds-toi dessus et ne dit rien à personne.

Je l'ai finalement donnée à Whitley Strieber par l'intermédiaire d'Art et cela a atterri à la NBC sous la forme d’une partie de programme de Whitley. Je crois fermement que ces trucs sont nos engins. Que nous ne regardons pas des E.T., des petits gris ou de petits aliènes. Nous voyons notre programme spatial secret.

Et il y a des raisons, qui encore une fois sont décortiquées avec grand soin dans le livre, qui expliquent pourquoi j’estime que ce sont nos engins. Et bien, si c'est vrai cela serait idiot d'imaginer que nous n'avons pas de base ou des bases sur la lune, ne serait-ce que parce que nous avons besoin d'un lieu fonctionnel pour analyser tous les trucs et rapporter ceux qui nous intéressent.

KC : Ok nous avons entendu parler des cargaisons d'Aurora qui vont et viennent et je suppose que les gens, je ne sais pas...

RH : Et bien, Aurora est un nom de code. Cela peu signifier n'importe quoi.

Nous savons qu'il y avait dans les années 1980 des séries de bangs supersoniques au dessus de Los Angeles que l'on disait venir depuis le Pacifique et atterrir ensuite, probablement à la base d'Edwards.

Vous savez, le complexe de recherche super-secret là-bas.

On a entendu dire que c'était Aurora. C'est tout ce que nous savons. Rappelez-vous c'est un mystère, enveloppé dans une énigme drapée d'un voile constant de mensonges. Ainsi pour en arriver à la vérité, a moins que vous n'ayez des images, avec des traces écrites, avec un pédigrée [NDT: pedigree dans le texte], vous ne pouvez pas y croire.

Et même avec tout ça, vous devez faire une analyse convenable pour comprendre ce que vous voyez. Je veux dire, il y a des personnes qui regardent ça et qui disent « Hoagland, je n'ai pas la moindre idée de ce que j'observe ». Car ils ne savent pas comment penser en termes de simple physique optique. Ils n'ont jamais conduit en direction du soleil couchant en cours d'après midi avec le soleil brillant sur leur pare-brise sale, pour réaliser qu'ils voient des pare-brises sales.

Ok, une prédiction clé – rappelez-vous la Science n'est rien si elle ne prédit rien – une prédiction clé du modèle de l'ancien dôme lunaire est que si gens étaient là, s'ils ont vécu là, ils ont construit de façon extensive des choses incroyables. Apollo a été envoyé pour savoir ce qu'ils pouvaient rapporter avec la technologie primitive des années 1950 et 1960. Au passage, nous faisons beaucoup mieux maintenant mais secrètement. Et l'une des prédictions clé du modèle est que si l'on a du verre, si l'on a des dômes de verre, des ruines de verre alors les gens qui vivent dans des maisons de verre voient des prismes, des motifs de réfraction ou spectre de couleurs.

Ils voient de superbes matrices de couleurs. Et si vous viviez dans une maison de verre et que vous regardiez les reflets et autres phénomènes, vous devriez voir des prismes encore et encore.

Sur ces photos, le modèle dit que vous devriez être capable de trouver des prismes.

Donc j'ai commencé à chercher. Et ceci c’est une photo provenant d'Apollo 17. On peut juste voir une trace. C'est l'une des images nouvellement numérisées et venant d'une fuite. Quelqu'un a mis 16 Mo de fichiers pour que n'importe qui puisse les télécharger à partir du web et ensuite utiliser Photoshop et bingo ! Vous allez confirmer exactement ce qui est là si vous augmentez le contraste et la luminosité.

Juste en haut, au-dessus des montagnes qui, au passage, ne sont pas des montagnes, se sont de vieux reliefs [NdT.: ecologies dans le texte] érodés – vous trouvez des prismes. Vous trouvez une splendide pointe colorée de verre donnant un spectre de réfraction de la lumière.

Maintenant dans le modèle que nous avons évoqué tout à l'heure, que tout était construit dans studio ? Hum-hum. Parce que les studios sont faits d'acier et d'aluminium… de matériaux de construction. Nous n'utilisons pas le verre dans ce cas parce que le verre est fragile. Le verre ce casse. Le verre n'est pas équivalent à l'acier sur Terre. C'est seulement sur la lune que le verre est 20 fois plus solide que l'acier.

Donc si j'avais à parier mon pantalon que nous avons raison avec un seul élément des données, cela serait ces prismes. Car en regardant ces photographies, en regardant la manière dont l'émulsion couleur de l'Ektachrome, le Super Ektachrome développé par mon ami Charlie Wykoff avec qui j'ai travaillé, je sais que ces trois couches – jaune, magenta et cyan – quand elles sont converties en un transparent Ektachrome en couleur, furent à l'évidence capables d'enregistrer des données.

En voilà un autre. Celui-ci a un spectre montant et un spectre descendant. Cela s'appelle de la bi-réfraction. C'est une réfraction double. Pendant que vous regardez, voici une comparaison : le premier que je vous ai montré et ici le second. Remarquez que l'angle est différent. C'est parce que cela a été pris suivant un angle différent par rapport au soleil.

Ainsi la physique de la réfraction de la formation des prismes...Voici l'une de mes favorites. C'est la photo pour les relations publiques. Cernan arbore les insignes du commandant avec le drapeau mais si vous regardez en haut dans l'obscurité sur le dôme qui est au-dessus de Taurus-Littrow et que vous l'agrandissez, vous pouvez alors admirer un prisme ! Un double prisme et vous pouvez en fait voir qu'il est aligné avec les fibres à l'intérieur du verre.

Voici un autre là, et un autre en haut là. Ce sont des preuves écrasantes, des preuves de physiciens en optique, que ce que nous voyons est en fait réel.

Voici sans doute ma photo favorite. Ici c'est Harrison Schmidt sur la lune. Le paysage lunaire, la vallée de Taurus-Littrow, un paysage gris et tout ce qu'on nous a raconté. Voici un graphe de couleurs. Voici notre étalon. Rouge, vert, bleu. Ca c'est notre dégradé de gris. Ca s'appelle un oman. On met ça dans les photographies pour calibrer les couleurs.

Et bien les couleurs sont étrangement insaturées. C'est comme si lors de leur sortie, la NASA avait abaissé les couleurs.

Vous voulez savoir pourquoi ? C'est parce que quand vous remettez les couleurs comme elles devraient être, bingo ! Vous avez un levé de soleil sur la lune. On a un levé de soleil en plusieurs niveaux à la manière de ce que vous pouvez filmer ici en regardant à l'extérieur. Si vous regardez à l'extérieur, vous verrez les mêmes niveaux de lumière et de couleurs sous l'atmosphère de la Terre. Sauf que nous savons tous, et nous pouvons le prouver, qu'il n'y a pas d'atmosphère sur la lune. Regardez simplement une étoile quand elle passe derrière la lune certaines nuits. Elle ne scintille pas. Elle disparait comme ça. Donc John Lear, cher John, tu as tord.

Il n'y a pas d'atmosphère sur la lune mais il y a ces immenses réseaux de verre et quand on regarde de la bonne manière ces photos – rappelez vous que ce sont des photos officielles – non seulement on voit le prisme d'un levé de soleil, mais juste ici, il y a cet incroyable et très joli prisme fait de verre réfractant la lumière du soleil vers l'appareil photo. Et remarquez l'angle. Il est presque horizontal car lorsque Cernan a pris cette photo le soleil était derrière lui. Il faisait face dans la direction presque opposée au soleil et la géométrie des dômes a rendu le spectre plat. C'est selon moi une preuve écrasante de ces anciens dômes lunaires.

BR : Et nous avons appris que la NASA est très contente d'ajuster la couleur de ses images venant de Mars.

RH : Oh, instantanément.

KC : Magnifique.

RH : C'est tout pour moi.

SOURCE:
http://projectavalon.net/lang/fr/richard_hoagland_interview_transcript_2_fr.html


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Transcription de l'interview - 3ème partie

Richard Hoagland : Dark Mission - Troisième partie
Albuquerque, Nouveau Mexique, Décembre 2007



Cliquez ici pour la version PDF de cette interview
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Kerry Cassidy: La dernière fois que nous vous avons rendu visite, nous n'avons pas fait d'interview, mais vous faisiez une vidéo nommée Kokopelli, et vous reveniez juste d'une conférence à Palm Springs dans le sud.

Richard Hoagland: Joshua Tree

KC : Oui, vous aviez donné une conférence sur vos conclusions au sujet de ce qui se passe en ce moment.

RH : C'était une conférence de 4 jours avec de nombreux autres chercheurs.


KC : David Wilcock était là.


RH : David y était, son ami aussi, Jean David Morton était là, l'un de mes chercheurs sur la Lune, Steve Troy y était, et Ken Johnston aussi.


KC : J’aurais vraiment voulu y aller, mais je n'ai pas pu. Nous avons été enchantés de découvrir que vous vous penchez maintenant sur ce qui advient à la planète, alors que nous entrons dans les incertitudes du futur à partir 2008. Nous sommes à l'aube de 2012 et au-delà.
Nous avons compris qu'il y a une évidence sur laquelle vous travaillez. Je pense que David Wilcock a collaboré avec vous pour l'un des articles sur votre site : Le jour interplanétaire après-demain [en 2004]. Cet article commence par documenter les changements qui se produisent sur d'autres planètes, c'est à dire pas seulement notre Terre, en termes de réchauffement et autres changements associés.


Ce que nous voulions vous demander c’est: Qu'avez-vous trouvé ?


RH: La façon dont je m'y suis intéressé, et qui relie ces deux sujets apparemment dissemblables, est partie de la question : qu’a fait la NASA pendant toutes ces années sans vouloir nous le dire, et qu’arrivera-t-il en 2012, ce qui s’avère avoir une connexion critique très importante.

Souvenez-vous, au départ j'étudiais un ensemble de ruines,... même si la NASA disait que ce n'était pas des ruines, mais simplement un jeu d'ombres et de lumières. Des éléments de cette étude ont été publiés dans « Les Monuments de Mars » et sont repris en détail dans le chapitre 2 de mon livre « Dark Mission », nous sommes tombés sur ces données de physique, des données que nous sommes supposé ignorer.


L'autre soir au téléphone, une personne « bien informée » m'a dit et c'est une citation exacte – c'est si frappant et si important que je comprenne bien, parce que ça illustre ce qui se passe dans les coulisses depuis toutes ces années au sujet du fait qu'ils ne nous disent pas la vérité : On m'a dit qu'ils abandonneraient plutôt une ville américaine au terrorisme nucléaire plutôt que d'abandonner cette physique-là.


C'est la physique de l'anti-gravité et de la soi-disant énergie libre, et même la physique de la conscience et de la vie elle même. Tout est lié au fait qu'il y a environ une centaine d'années, quand Maxwell écrivait ses équations et les nouveaux fondements pour la théorie électromagnétique, en Angleterre, la physique a pris un mauvais tournant, de façon radicale.


Rétrospectivement, et j'ai retourné cela dans les deux sens – nous en parlons dans le chapitre 2 – ce n'était pas un mauvais tournant pris par des personnes qui auraient été trompées, auraient fait des erreurs ou ne savaient pas ce qu'elles faisaient. Cela a été un détournement conscient de la vérité, fait par des personnes qui ont manipulé la science et les scientifiques, en contrôlant la presse spécialisée, en créant le procédé de révision par les pairs (peer-review), en supprimant systématiquement les études publiées non désirées, en attaquant la réputation des scientifiques qui ne suivraient pas la voie étroite et droite.


Un rassemblement conscient de la communauté scientifique, en vue de l'écarter des technologies et d'une compréhension fondamentale de la physique qui aurait libéré l'humanité entière. En d'autres termes: le contrôle.


Souvenez-vous, j'en suis arrivé là en étudiant un tas de ruines sur une autre planète. Au moyen de la géométrie et d'étapes très intéressantes dont je vous fais grâce maintenant car elles se trouvent dans les deux livres. J'ai réalisé que nous avions, sur la surface d'une autre planète, une physique complète, un point de vue d'une toute autre manière de regarder le monde, la réalité; de ce qui réellement contrôle absolument tout, y compris notre technologie que nous considérons comme allant de soi et dont nous pensons qu'elle fonctionne d'une certaine façon, quand en réalité, elle fonctionne sur des principes différents, parfois un peu, et parfois drastiquement différents.


C’est donc dans ce contexte que je commence à observer les ruines de Mars, puis j'élargis mes recherches sur les ruines sur la Lune, avec ses petits tessons de verre, et j'ai la confirmation que tout cela est vrai. Tout ce que je dis depuis tant d'années et que la NASA nous cache.


Alors la question se pose : Si nous nous penchons sur des civilisations anciennes sur d'autres planètes, et qui ne sont plus là ... qu'est-il arrivé ? Je veux dire, s'ils avaient ce pouvoir magique presque divin, pourquoi ne sont-ils plus là ? En tant que leurs derniers descendants vivants, avec le schéma qu'ils sont nous et nous sommes eux, pourquoi sommes-nous dans cet état si désastreux ?


Nous combattant les uns les autres pour quelques barils, alors que l'univers qui nous entoure pourrait nous fournir de l'énergie en quantité illimitée pour construire des choses à une échelle ahurissante comme celles que l'on peut trouver juste à coté sur la Lune.


Il a dû se passer quelque chose.


Cela me fait penser : Nous savons, d'après l'histoire terrestre, que la vie ne se poursuit pas indéfiniment. En fait il se produit des évènements graves. Aux gens, aux villes, aux nations et aux civilisations. Des évènements arrivent, s'amenuisent, et disparaissent. Comme dans Shakespeare, les sept âges de l'homme. Début, milieu et fin.


Donc, peu importe à quel point les types qui ont créé cela étaient incroyables, si cela devait se terminer, et on dirait bien que cela s’est passé, de nombreuses fois, de façon catastrophique... Si vous regardez ce qu'il y a sur Mars, il est évident qu'il y a eu une catastrophe planétaire gigantesque qui a balayé tout ça et l'a enterré sous des kilomètres de boue et de sédiments, qui depuis, s'érodent.


Nous voyons des traces de bâtiments sortir du sol. Dans leurs écrits, les Russes eux-mêmes parlent de villes englouties sous les sables de Mars; ils en parlent dans leurs médias scientifiques principaux.


Alors, vous voyez tout ça, et je me dis : Est-ce que ça pourrait arriver ici de nouveau ?


Tout ce que nous voyons autour de nous, New-York, les gratte-ciels, la technologie extraordinaire d'Apollo, tout ce que nous prenons pour argent comptant, alors que nous croyons que nous sommes sur cette voie éternelle qu'est le futur; tout cela pourrait-il se terminer ? Est-ce qu'aujourd'hui nous pourrions traverser des cataclysmes comme ce que ces gens sur Mars ont connu ? … Vu qu'ils ne sont plus là.
C'est ce qui m'a entrainé à analyser des registres anciens. Il y a des choses étonnantes en Egypte et je peux les montrer. Je les ai dans ma base de données. Elles prouvent vraiment que nous ne sommes pas les premiers.

Il y a un parallèle inquiétant entre le visage de Mars et ceux des masques des pharaons d'Egypte, y compris leur coiffe à rayures, appelée Manes.
Si nous regardons les premières versions des images du visage de Mars, par Viking, on y voit des rayures latérales des deux cotés de l'endroit sur lequel se trouve le visage. Ce qui m'a mis sur la piste d'une connexion égyptienne.


Abydos, actuellement sur l'écran, est un cas particulier. D'ailleurs, dans la mythologie Stargate, de la série télévisée, c'est une planète cruciale, on peut se poser la question : Que savent ces gens et depuis quand le savent-ils ?


Faites une avance rapide du film, vous voyez des gens comme Vladimir Avinski qui est un chercheur russe. De son coté, en 1984, il a publié dans Soviet Life Magazine une chronologie de son enquête sur Cydonia. Il termine en nommant le visage de Mars : « le Sphynx martien ».


Avance rapide sur le film. Quand Errol Torun a rejoint mon équipe de recherche, nous avons réalisé qu'il y avait un lien mathématique exquis entre l'emplacement des ruines sur Mars et l'emplacement des ruines en Egypte. En fait, je m'en souviens très bien, le cosinus de l'un équivalait le sinus de l'autre.

Les chances que cela se produise sont de 1 sur 7000. Autrement dit, chaque partie importante du Sphinx ou des pyramides sur deux planètes différentes connaissant l'emplacement exact de l'autre et ceci avec une chance de 1 sur 7000. Ce n'est pas un hasard. Comme George Noory le dit : je ne crois pas aux coïncidences. George a raison, ce n'est pas une coïncidence.

Plus vous fouillez dans l'histoire de l'Egypte, les hiéroglyphes, l'architecture, tout ce qui est égyptien, en fait, ce sur quoi se basent les Francs-maçons pour leur savoir; vous trouvez cette incroyable connexion subliminale avec Mars.


Quand je regarde une civilisation disparue sur une autre planète, où il n'y a aucune vérité matérielle venant du lieu même, si je peux y trouver des connections où il y a une possibilité de vérité, sur le sol même, j'y consacre toute mon attention.

Le résultat : il y a dans la mythologie et dans l'architecture, les mathématiques et la géométrie, ceci à tous les niveaux, une connexion profonde entre les monuments de Mars et les monuments de la Terre, particulièrement en Egypte. Ce que j'appelle dans « Les Monuments de Mars » : la connexion terrienne.

Vous pouvez aller lire dans les livres, c'est documenté avec des photos, des équations, tout y est. Cependant, cela m'a conduit à réellement m'intéresser à certaines petites choses en Egypte. Il se peut qu'il y ait des archives actuelles, un indice d'une civilisation de pointe qui serait allée sur Mars et aurait construit ce que nous voyons.

Bien que maintenant je ne pense pas que ce soit le cas. Il y a trop de choses là-bas qui n'ont pas été rétro-conçues mais viennent de la civilisation de Mars, dont on voit les ruines, et qui pourrait avoir envoyé des réfugiés, des colons sur Terre. Alors, on aurait un développement indépendant d'une civilisation évoluée, nous verrions alors sur Terre les traces de cette ascendance dans les monuments.


Voici Abydos, ce qui frappe, c'est le temple de Seti I qui était l'un des pharaons de la renaissance. Il se situe dans le milieu de l'histoire égyptienne, environ 1500 ans av. J.C. Il a apporté un vrai renouveau. Il s’est intéressé aux origines de sa culture, de sa civilisation ; il avait le pouvoir, l'argent et la capacité d'ordonner à ses gens de trouver ce qu'il y avait de mieux, et de construire des monuments qui affirmeraient la grandeur des pères fondateurs anciens de la culture égyptienne.


Il a construit ce temple à Abydos, et ce qui me frappe, c'est que quand on regarde la façade, eh bien qu’est-ce que ça vous rappelle ? Pour moi, c'est moderne, ça n'a pas l'air ancien. En fait, c'est très moderne. Ça a l'air d'un grand immeuble massif à 5 cotés, [comme celui] de l'autre coté du Potomac, appelé le Pentagone.

Quand vous regardez le Pentagone au niveau du sol, ça ressemble à ceci y compris les colonnes qui sont faites en béton, celles-ci sont faites en pierre. Quand vous entrez, là, c’est la surprise. Parce qu'à l'intérieur, sur le haut des linteaux qui soutiennent le toit, et l'un d'eux en particulier, vous voyez cette frise étonnante de ce qui rappelle au début des hiéroglyphes mais en fait, sont des appareils de haute technologie, comme un hélicoptère, un tank, l'évidence d'un vaisseau spatial anti-gravité avec une queue, et un propulseur tout terrain, je veux dire, on dirait exactement ce qu'utilisait Luke dans Star Wars , d'accord ?

Il y a aussi des choses qui se rapportent à l'iconographie. Des lettres, peut être une sorte de hiéroglyphe qui n'a pas l'air égyptien. Et ce que j'ai fait : c'est comparer.


Maintenant, quiconque regarde ceci se dit : Oh mon Dieu, vous voulez dire que les Egyptiens ont eu des chars de combat, des hélicoptères Cobra ? Non, ce n'est pas ce que nous disons. Ce que je dis, c'est : voilà le tank Abrams comparé à ce tank là. Ce que je veux dire, c’est que la culture ancienne, menée par Seti I qui s'est tournée vers ses propres archives secrètes, ses propres textes sacrés, sa documentation de ce qu'on appelle en égyptien « la première fois ». C'est la chronique d'une ère extraordinaire qui s'est déroulée avant la civilisation égyptienne, alors contemporaine. Seti I a érigé un mémorial aux gens étonnants qui ont construit et préservé tout cela.

Donc, je pense qu'il a construit un musée, un mémorial à la technologie du temps d'avant – la première fois. Le Shemsuhor, les disciples d'Horus, qui représentaient la lignée de prêtres qui conservaient les traces. Si l'on observe la chronologie de Manatho, son calendrier, l'on voit ces énormes laps de temps que les égyptologues conventionnels considèrent comme anodins ou bien comme des erreurs de calcul de cycles lunaires durant des années, et d’autres non-sens. Mais, l'on parle de périodes dans le temps qui sont équivalentes à 10, 20 ou 30 mille ans d'un coup. Si vous remonter complètement l’horloge, cette époque pourrait très bien avoir été contemporaine de ceux qui ont construit ce que l'on voit sur Mars.

Le point d'ancrage de la véritable science, c'est quand vous regardez le plateau de Giza et que vous voyez les pyramides du dessus. Il faut voir la reconstruction de Bauval et Hancock, des étoiles et de la ceinture d'Orion, imiter l'emplacement de la pyramide sur le plateau. Voyez comment ces pyramides sont alignées, presque, mais pas exactement, sur le vrai nord.

Si vous prenez une simple pendule, les plaques tectoniques de géologie standard, et que vous remontez la pendule de la plaque tournante en Afrique, à cause de la physique de la planète sous le plateau de Giza, et la période dans le temps à laquelle Cydonia a été construite est la même : un quart de million d'années. Ce qui veut dire que nous avons là une civilisation incroyable, qui est venue et qui a disparu.


Kerry: Parle-t-on de l'Atlantide ?

Richard: Métaphoriquement, oui. En d'autres termes, si vous lisez Platon, l'histoire actuelle de l'Atlantide, je pense que les spécialistes – et c'est mon opinion personnelle – ont ciblé leur recherches de façon trop étroite sur un lieu, une île, une nuit et une catastrophe. Platon écoutait les prêtres égyptiens, il a obtenu tout ce qu'il savait de l'Atlantide des types même qui ont fait cela. Il parlait d'une ère, d'une civilisation et d'une culture, pas d'un petit morceau de terre où un groupe d'hommes a vraiment foiré et a été puni par les dieux.
L'Atlantide est un concept, pas un lieu. Pour moi, l'Atlantide c'est le temps d'avant, qui a peut-être vu des hommes qui pouvaient aller et revenir sur la Lune, de même que sur Mars. Alors étalons tout ce que nous avons trouvé des lunes des autres planètes, au prix de très gros efforts avec la base de données de la NASA. Et qui attend d'être confirmé par un programme spatial honnête qui donnera un jour la vérité.

Ce qui nous amène à la question inévitable : Si tout cela a existé et a maintenant entièrement disparu, qu'est-il arrivé ? La réponse, pour la physique, est que la physique peut se tromper. Et peut se tromper de beaucoup. Elle peut se tromper à l'échelle du système solaire. C'est pour cela que nous voyons Mars en ruine, des ruines terribles.

C'est pour cela que nous voyons des ruines et pas des gratte-ciel, que l'on peut reconnaître instantanément sur la Lune. Ce qui soulève une autre question : Cela peut-il arriver ici ?


Cette question dirige notre regard sur le coté, vers le calendrier maya parce que les Mayas – l'une de ces anciennes cultures contemporaines des types qui ont construit ce mémorial – ont dans leur propres textes : Il y aura une date et un temps quand tout ceci disparaîtra, et quelque chose de totalement neuf renaîtra.

Alors est-ce juste une métaphore ? Cela s'applique-t-il à la conscience ? Un nouveau regard sur le monde ? Un new age insouciant et planant ? Nous allons tous nous aimer un de ces jours ?


Ou bien y a t-il une possibilité que dans cette physique, il y ait un ensemble de bombes à retardement ?

Si on ne prend pas ce savoir, cette science, cette technologie, toutes les opérations classifiées des opérations secrètes (blacks ops) sur lesquelles ils sont assis depuis plus de 50 ans, nous allons être dans la panade quand le jour du Jugement Dernier, le 21 décembre 2012, arrivera, nous ne sommes absolument pas préparés à ce qui pourrait arriver.

La politique, c’est 99% de perception. Dans mon esprit, il y a ici deux questions. L'une : que va-t-il vraiment arriver ? Et je travaille avec Enterprise et des chercheurs comme Joseph Farrell et d'autres, pour comprendre et saisir la physique.

L'autre est politique : Ceux qui ont le contrôle et nous ont empêché de connaître notre véritable Histoire, à quoi s'attendent-ils ? Et que font-ils pour se préparer, sans rien nous dire d'ailleurs ?


Il y a la physique. Nous avons des indications très intéressantes de vortex hyperdimensionnels qui sont en alignement dans la galaxie. Ils se forment tous les 26.000 ans et ont un effet réel physique. La question, c’est : à quel point ? Nous avons aussi une preuve que les « initiés », les Rockefellers, les Bilderbergers, les milliardaires, tous ces groupes savent quelque chose, ou plus exactement, ils pensent qu'ils savent quelque chose et ils ont pris les devants depuis ces 100 dernières années pour être prêts.

C'est ce qui m'intéresse vraiment. Et c'était si cool quand j’ai compris cela, et que j'ai été en mesure de l'exposer comme lors de la conférence de Joshua Tree, qui n'était d’ailleurs pas le premier endroit ou je le faisais. J'ai donné plusieurs conférences, pour le même style de public, afin de voir comment les gens vont se lever et applaudir quand ils verront ces données.

Quand Christophe Colomb a pris la mer en 1492, une des choses qu'il a rapportée est le calendrier maya, les Codices Mayas. On nous a dit qu'ils avaient brûlé, n'est-ce pas ? C’est faux ! Je pense qu'ils étaient séquestrés dans les archives du Vatican. Quelle personne saine d'esprit détruirait de l'information ? Oublions le fait qu'ils ne soient pas religieux, qu'ils préfèrent sauver leur peau, qu'ils cherchent à avoir l'avantage sur la société, la politique, et les peuples : c'est juste pour tout contrôler.


La dissimulation, signifie, que s'ils ont brûlé, personne ne peut plus les consulter – donc vous pouvez les voir en secret – voilà, je pense que tous les codices que les érudits n'ont pas, sont retournés au Vatican. Pourquoi je sais cela ? Parce que la seule façon dont ça aurait pu marcher, c'est en 1582, quand le Pape Grégoire nomme un disciple allemand pour diriger le concile qui réformera le calendrier. En effet, les saisons ne correspondent plus avec Pâques et Noël, ni la résurrection du Christ et tout ça. On ne peut pas avoir Noël en juillet, or, c'est ce qui se passe à cette période là.


Donc, il faut réformer l'ancien calendrier julien et Grégoire place Clavius, le génie allemand mathématicien, pour présider cette sorte de « comité présidentiel », afin qu'il recommande les changements nécessaires dans le calendrier.
Quand tout a été dit et fait, ils se sont retrouvés avec un calendrier qui réajustait les dates, les saisons, les périodes, et ramenaient tout bien synchro. C'est le calendrier grégorien, le nôtre actuellement; ça a pris du temps pour filtrer parmi les diverses parties de la Chrétienté et les différentes régions du monde non chrétiennes en 1583. Il a été avancé de 11 jours.


Observons la synchronisation des deux calendriers, maya et grégorien, et cette date très cruciale de 2012. Selon l'observatoire naval des Etats-Unis, vous pouvez consulter leur site – Google est votre ami – vous trouvez que le moment magique, l'instant où le monde change, d'après les Mayas, ne prend pas fin mais – change – de façon radicale. C'est le 21 décembre 2012 à 11.11 heures. Temps universel.


Il est impossible que ce soit fortuit car 11 :11 est un code pour la physique que nous avons décodé à partir des monuments de Mars. C'est une longue histoire et nous n'avons pas le temps ici, mais elle se trouve sur le Site Enterprise, ainsi que dans les livres. L'essentiel est: aucune chance que Clavius, avec son héritage d'une société secrète allemande, ait pu calculer ceci sans une source indépendante de connaissances beaucoup plus sophistiquées.


J'ai eu un professeur de mathématiques, Che du Département de l'Université de Fairleigh Dickinson, qui a consigné par écrit qu'il n'avait aucune idée de la façon dont Clavius avait fait pour arriver à cela. C'est bougrement trop précis. Je suppose donc que ce sont les codices secrets, rapportés par Colomb, séquestrés au Vatican, avec le calendrier maya qui leur ont permis d'ajuster le calendrier grégorien pour qu'il corresponde pile à 11.11, le matin du 21 décembre 2012.

Kerry: Qu'arrive-t-il ?


Richard: J'avais peur que vous me demandiez ça. Je ne sais pas.


Kerry: Travaillez-vous là-dessus ?


Richard: J'y travaille bien sûr, c'est en cours. Je ne sais pas. Je ne vais pas m'asseoir et vous raconter ce que je ne sais pas. Je peux vous dire ce que je soupçonne.


Puisque les implications sont si graves et que l'ampleur des efforts accomplis par les «méchants », si grande, ma conviction est que ce ne sera pas une partie de plaisir pour beaucoup de gens. Je ne peux pas compter là-dessus pour l'instant.

Cela pourrait changer radicalement, et de diverses façons. L'une d'entre elles concerne les types des projets secrets (black projects), qui jouent avec leurs jouets secrets, vaisseaux, programme spatial secret, ils vont et viennent, pillent la Lune, trouvent des bibliothèques, et font Dieu sait quoi là-bas. Si tout d'un coup, ils se rendent compte que cette technologie s'applique à tous les mondes, qu'il y a une physique ici qui peut littéralement prendre le contrôle de la planète et prévenir des évènements néfastes... ce serait vraiment cool...

Ce qui pourrait nous entraîner vers la fin, serait qu'il y ait un véritable problème pour lequel nous n'ayons aucune solution. Heureusement, d'après des tas de preuves, et d'après les personnes qui viennent vous parler, tous les initiés sont au courant. C'est uniquement nous, les pions de l'extérieur, qui ne sommes pas supposés savoir quoi que ce soit. Ce qui veut donc dire, qu'il n'y a rien à inventer, tout ce qui est nécessaire est redirigé de là-bas (quoiqu'ils fassent avec) à ici, ce qui est le problème planétaire.


Notre boulot est d'obtenir que des initiés comprennent qu'il n'y a aucune échappatoire pour eux; qu'ils sont coincés comme nous tous. Nous sommes tous dans le même bateau parce que le mensonge est différent à chaque niveau. Même si on leur a dit qu'ils ont une porte de sortie, c'est probablement faux. Ont-ils des familles, des oncles et des tantes, des chiens et chats, des crédits immobiliers et tout ce genre de choses ? Ils seront ici quand arrivera ce qui arrivera en 2012, basé sur une physique présente ici sur Terre que je peux documenter.

Kerry: Nous connaissons un scientifique qui nous a parlé brièvement. Il dit qu'il y aura trois évènements entre maintenant [fin 2007] et 2012. C'est un scientifique respectable parmi ses pairs, quelqu'un que vous pourriez connaître, et peut-être lui avez-vous déjà parlé. Nous l'ignorons, ne pouvant le nommer.


Il dit que l'un des évènements est : Une projection massive de la couronne solaire.


Bill: Le deuxième est un basculement du pôle magnétique, et finalement, une inversion des pôles. Il ajoute que cela va commencer en 2009 et culminer en 2012. Il ne pouvait rien ajouter, étant contraint au silence par une habilitation de sécurité nationale. Nous étions les premières personnes à qui il a parlé en dehors de la communauté de la Sécurité Nationale, depuis ces sept dernières années.


KC : Il nous a fait une faveur. Nous avons reçu son e-mail et avons entamé un petit dialogue. Maintenant, toutes sortes de personnes nous approchent, certaines viennent des projets secrets, pour dévoiler des secrets, d'autres sont des observateurs à distance (remote-viewers), etc. Ils ont tous des informations sur ce qui pourrait bien arriver entre maintenant et 2012.


Nous rentrons de Russie où nous avons eu une entrevue avec Boriska, l'enfant qui se souvient d'une vie passée sur Mars. Il a commencé à parler à l'âge de 7 ans, nous mettrons cette interview en ligne sous peu. Boriska dit très simplement que Moscou sera inondée par les eaux, et que cela arrivera en 2009. A l'âge de 11 ans, il ne sait pas pourquoi ou comment. Il sait juste que cela arrivera.


Nous obtenons toutes sortes de preuves. Il y a des preuves de bases souterraines, de préparatifs pour sauvegarder des groupes de personnes en des lieux sécurisés, et de laisser le reste des gens, environ les deux tiers de la population, sur le bas coté de la route.


RH: C'est probablement sous-estimé, et très largement.


KC: Nous sommes désolés d'envisager que cela soit possible, ou qu'un cataclysme si massif frappe la Terre de telle façon que ces évènements vont causer une destruction totale et la fin de la vie humaine.


RH : Ce n'est pas la fin de la vie humaine, c'est la fin de ce cycle de civilisation. Nous continuerons, la race humaine continuera. Si les preuves du passé sont correctes, et elles le sont, il y aura un nouveau cycle, un nouveau milieu de cultures et de civilisations, et nous serons les mythes de leurs esprits et de l'esprit de leurs scribes, et un jour, ils auront développé le vol spatial et ils iront sur la Lune. Il y aura des gens qui leur cacheront la vérité, et le cycle se perpétue ad nauseam, à moins que nous y mettions un point final ici.


La règle du jeu, pour nous tous qui en regardons les multiples facettes, est que nous devons tous combiner nos forces, nos ressources, notre base de connaissance, et notre bonne volonté, et par dessus tout vous engager tous à changer le script. Les outils sont là maintenant, je sais que les outils sont là, quoiqu'il advienne, nous pouvons l'affronter parce que la physique est si extraordinaire.


Le problème, c'est la volonté politique et spirituelle.


C'est un petit groupe, qui souhaite, dans le pire des scénarios, notre disparition à tous. Donc ils ne règlent rien, ils ne bougent pas le petit doigt. En fait, ils perpétuent l'illusion, le mensonge n'étant pas le même pour tous, que rien ne peut être fait. D'après mes recherches on peut accomplir beaucoup de choses.


Cela peut s'arrêter, et changer. La première règle pour conquérir un ennemi – et pour eux, nous sommes l'ennemi – est de les rendre conquérants d'eux-mêmes, vous faites qu'ils laissent tomber et cessent de combattre. Vous leur dites que c'est sans espoir. Souvenez-vous des types dans Star Trek, le Borg. Les combattre est futile, résister est futile. Et bien non, ça ne l'est pas. C'est un autre niveau du mensonge.


KC : De quelle sorte de physique ou de technologie parlez-vous ? Ce sont les voyages temporels ? Je suis sûre que c'est de la physique hyperdimensionnelle. Que voyez-vous comme solution ? Je sais que vous travaillez avec David Wilcock, et il est très positif envers le futur; cet état d'esprit positif vient-il des recherches auxquelles vous avez collaboré ? Ou est-ce parce qu'il partage certaines de vos sources ?


RH : Un peu des deux. La raison pour laquelle j'étais intrigué par Wilcock est qu'il arrivait aux mêmes conclusions que les nôtres, de façon indépendante, et j'aime les confirmations de source indépendante. C'est le cœur vivant de la science véritable. Lorsque quelqu'un que vous ne connaissez pas vous présente une base de données et, oh mon Dieu, elle ressemble à la vôtre et vous n'en avez jamais discuté auparavant. C'est ainsi que nous en sommes venus à collaborer. Nous avons travaillé ensemble. Nous avons développé et réuni nos sources d'information, nous avons publié nos travaux afin de les faire connaître.


Quand à ce qu'il faut faire, même parmi les plus brillants des initiés qui sont dans le coup, je ne suis pas certain qu'il y en ait un qui sache exactement ce qui se produira. J'ai trouvé tant d'exemples où des gens travaillent en ignorant les textes anciens et en n'ayant aucune idée de la véritable physique derrière tout cela.


Ils ont pu dépenser des fortunes, des milliards de dollars. Ils ont pu construire leurs villes souterraines gigantesques dans l'Oural et la Russie. Ils ont pu construire leur banque de semences en Norvège. Je veux dire, tout cela est là, on peut voir tout ce qu'ils font pour être prêts. Mais, supposons qu'ils soient évincés, supposons qu'ils ne lisent pas la physique correctement parce qu'ils ne savent pas qu'il y a une physique.

C'est tellement compartimenté que les physiciens qui développent ces vaisseaux cool, ou bien des sources d'énergie, ne parlent pas aux politiciens qui prennent d'autres décisions. Souvenez-vous, c'est secret. Ils préfèrent abandonner une grande ville américaine, plutôt que de divulguer le secret de cette physique car, s'ils le font, ils perdent tout contrôle.


Leur paradigme, la raison de leur existence, n'est que contrôler. Ils ne peuvent pas dire "peut-être que nous nous sommes trompés, que nous n'avons pas compris correctement". Personne, parmi les initiés ne m'a appelé pour dire « Hey, Hoagland, que penses-tu réellement qu'il va se produire ? » A moins que vous deux ne travailliez pour eux, dans ce cas, c'est une technique élégante !


L'essentiel est qu'il faut « penser nombres » et là, les nombres me disent deux choses. La première, ce n'est pas une date. Ça n'arrivera pas au douzième coup de minuit le 21 décembre 2012; ou bien à 11h11 du matin. Ça fait partie d'un rituel synchronisé et cela renforce le fait que tout ceci est basé sur la physique car le code est : 11 :11.


11 :11 est actuellement – je vous donne la réponse, puis vous pouvez la retourner et rétro-concevoir comment nous en sommes arrivés là – 11 :11 est le code de 19, 5 qui est la clé géométrique de la physique ascendante de chaque planète dans le système solaire. Cela nous dit... c'est comme le Swastika, c'est comme une autre façon [version] d'imprimer quelque chose, qui est réellement basée sur la physique. Basée sur la physique hyperdimensionnelle.


Il y a deux façons d'employer cette physique pour éviter ce qui vient. S’il y a quelque chose de néfaste qui vient, l’une est de type technologique. Je soupçonne fortement que HAARP, en fait, est l'une des technologies positives protégée par tous les mensonges stupides proférés à son encontre. Le scénario le pire, le contrôle des esprits, le bombardement de rayons sur les gens, non, tout ça, c'est pour protéger le véritable objectif de HAARP : essayer de travailler avec des plasmas dans l’ionosphère. Les plasmas sont la clé du contrôle des ondes de torsion, et ces ondes sont une manifestation éthérique en 3D de la physique hyperdimensionnelle dans cette dimension.


Vous avez un émetteur énorme, multi gigawatt qui travaille avec des plasmas, en haut, aux pôles.
En ce moment, les Russes sont très intéressés par les deux pôles.


Ils ont envoyé une expédition au pôle nord. Poutine a fait quelque chose de curieux cet été et ils ont aussi envoyé un agent de renseignement pas si secret, chargé de leur service de renseignement au pôle sud. Pourquoi tout ça ? C'est parce que les pôles sont le secret du contrôle de la Terre au cas où elle bascule sur son axe.


Quelqu'un quelque part travaille en ce moment sur une technologie qui éviterait le scénario le plus sombre. Ah, bonne nouvelle. Ils habitent ici, ils cherchent à régler le problème, et je peux montrer d'autres aspects de HAARP, mais nous n'en avons pas le temps. Ils sont sur le web dans Dark Mission. C’est si cool d’affirmer qu'un groupe [de gens] est en train de chercher une solution pour nous tous. C'est seulement avec la technologie que nous voyons. Nous ne savons pas ce qui se passe dans les coulisses, c'est confidentiel.

Comme je disais à un néoconservateur, il y a des années, quand j'avais eu cette discussion avec lui – et c'est vraiment étonnant parce que c'est quelqu'un qui vit, c'est un banquier de très haut niveau... suivez l'argent – il habite juste à coté de George Bush, à Houston. C'est évident qu'il est intimement mêlé à ce genre de conversations. Il y a quelques années déjà, je lui avais exposé ce à quoi je m'attendais, et il m'a regardé et dit : « Mais vous réalisez Hoagland, que vous n'aurez aucun mérite pour cela. » J'ai dit « Quoi ! ? » Il répond « Il faut que ce soit fait en secret, personne ne doit jamais savoir. » Je lui ai répondu « Au diable le mérite, je le ferai. »


Donc, les choses se font. On a pas à savoir ce qui se passe, on n'a pas besoin des détails. Il faut simplement savoir que quelqu'un s'occupe de nous. Il y a une composante, souvenez-vous, c'est une vraie chasse gardée, et ils sont tous en guerre les uns avec les autres et une petite voix murmure : « Mon Dieu, ma femme n'a pas de ticket, peut-être que je devrais faire quelque chose, pour la planète parce qu'elle va se retrouver coincée ici. »


L'autre piste, la plus intéressante pour moi, je m'en aperçois peu à peu, est la piste de la conscience.


Art, George et moi-même, avons fait des expériences d'états de conscience dans l'émission Coast to Coast durant des années. Nous avons démontré qu'un groupe de personnes qui se concentrent sur un même objectif, exerce réellement une force invisible et indéfinissable qui affecte la réalité en 3D.
Je suis ici en partie à cause de cette technologie de concentration, expérimentée avec Art et son audience. Lors de ma crise cardiaque en 1999, avec le recul, je peux dire que pendant la première semaine si critique, quand Art dirigeait la concentration de son audience vers moi, il y avait une différence. Je crois sincèrement que cette intervention, dans les premiers jours a été cruciale, pour me faire traverser cet état critique. Ensuite, les compléments nutritionnels sur le long terme, et toutes ses autres recommandations m'ont fait recouvrer une parfaite santé, sans plus aucun problème dix ans plus tard.

J'ai donc pensé, pour des raisons personnelles évidentes : « Et si nous pouvions maitriser cette technologie, ce lien invisible de l'esprit pour travailler sur ce problème. » Nous avons tranquillement discuté avec George, de la façon dont nous conduirions d'autres expériences contrôlées. Il y en a eu une récemment : une horloge de compte à rebours est installée et George demande à l'audience de se concentrer dessus à différentes heures et justement, les EGG de Princeton, ces générateurs de nombre aléatoire installés par le projet « conscience » à l'université de Princeton, montrent qu'il y a un effet à l'heure prévue et dans les délais, lorsque les participants se concentrent sur l'expérience dans les temps impartis.


Supposons que nous devions présenter nos expériences pour un média grand public (émission spéciale de télévision, théâtre...) C'est l'énoncé de l'expérience telle que nous la concevons. Ce sont des portes d'entrée vulnérables ou une intervention serait utile. Nous donnons aux gens simplement la base de données, indiquant que si cela a marché ici, cela peut marcher ailleurs.
Dans le processus, nous habilitons démocratiquement la population ordinaire du monde entier à mettre, ensemble, leurs différences. Nous nous concentrons ensemble, en tant que famille humaine collectivement pour résoudre potentiellement le plus grand problème de l'histoire de l'humanité dans cette itération du monde. Supposons que cela fonctionne.


Voici notre défi. C'est pour cela que je fais ce que je fais. C'est pour cela que j'ai écrit le livre.


KC : C'est très impressionnant, en un sens Ingo Swan était capable d'affecter avec son esprit, cette chose avec l'aide du Sandford Research Institute...


RH : Les expériences du magnétomètre. En fait il s'est amusé avec et tout le monde était troublé.


KC : C'était sensé être impossible.


RH : Ce sont les torsions. Tout ça, c'est sur les ondes de torsions. Les Russes, quand ils étaient des Soviétiques, avaient cinquante années de données qui montrent que c’est de la physique réelle, qui, je le répète, a été supprimée du monde occidental. J'essaie de réunir ces deux cultures.


N'est-il pas intéressant de voir que nous ayons eu tant de réactions positives lors de notre conférence de presse nationale du Club de la Presse à Washington D.C. ? Quatre services de presse russes sont venus. Nous en avons eu un autre, russe également, qui est venu ici, assis avec moi, et l'écran qui montre cette recherche qui sera diffusée sur NTV, le réseau télévisuel commercial le plus important en Russie, chez 120 millions de Russes dans les prochains jours.


Nous pouvons construire des ponts entre deux cultures qui possèdent une base de données qui démontre que c'est de la science véritable, de la physique véritable. Ça ne pourra pas disparaître, à la condition que les gens ordinaires oublient les autorités qui leur ont menti, et portent leur attention sur ceux qui essaient de leur montrer des éléments de vérité.


Les gens doivent faire leurs propres recherches. Vous ne pouvez pas vous asseoir, m'écouter et me croire. Vous ne le devriez pas. Vous avez Internet, vous avez Google. Google est votre ami. Vous pouvez établir des corrélations à l'aide de recoupements de multiples sources et obtenir un tableau conséquent de faits vérifiables et si c'est vrai, vous ne pouvez pas rester dans votre canapé et regarder la télévision.
Vous devez vous lever et agir... car 2012 arrive


KC: Merci beaucoup, Richard Hoagland. Cela a été vraiment fabuleux, Camelot vous remercie et espère revenir pour une entrevue avec vous et Farrell pour la suite.



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Postface

L'un des problèmes de publier un livre tel que Dark Mission, c'est la crédibilité. Quand vous présentez des revendications basées sur des preuves, y compris des revendications basées sur les données d'une source de la NASA telle que Ben Johnston, elles seront toujours vulnérables aux interprétations de tous et particulièrement aux attaques qui pointent le doigt vers la crédibilité de vos sources.

Depuis quelques heures, sur Amazon.com, on peut trouver une critique de Dark Mission publiée par un ancien responsable de vol de la NASA, qui, non seulement affirme que la majeure partie de ce que nous avons écrit est correct, mais qui m'a également révélé ceci : Durant les années où j'étais l'invité de Coast to Coast, ou Art Bell, je parlais des diverses activités de la NASA, et les équipes de vol écoutaient mes exposés, les responsables en ayant fait eux-mêmes une compilation pour la bibliothèque du Centre Spatial Johnson.

Ensuite, après environ dix ans, la bande a disparu. Cet ancien responsable de vol en était troublé et s'est mis à la recherche de la bande. Puis, il a été prié de cesser les recherches, sous peine de pénalité. Pénalité non spécifiée.

James Oberg, l'actuel défenseur de la NASA, qui avait vigoureusement attaqué Ben Johnston, a écrit une réponse sur Amazon, revendiquant que cette personne faisait des assertions non fondées, qu'en fait c'était du vent... et quelque heures plus tard, il a publié une deuxième critique où il affirme qu'en fait, ce responsable de vol est tout à fait ce qu'il prétend être.

Il y a des changements...

SOURCE:
http://projectavalon.net/lang/fr/richard_hoagland_interview_transcript_3_fr.html

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